27 mai-11 nov. 2010, 17 oct 2013

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Les attentats du Onze septembre
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Sommaire général :

Contenu de cette page :


Gerard Holmgren (1958-2010) : le prince de la logique

(27 mai 2010) Son frère David (sa notice sur fr.wikipedia) annonce le décès de Gerard Holmgren (1958-2010) le 2 mai 2010 à Sydney, suite à un cancer foudroyant diagnostiqué 15 jours avant sa mort (Mémorial sur Facebook ; autre mémorial).

Gerard Holmgren
Gerard Holmgren (26/11/1958 - 2/5/2010), photo de son mémorial Facebook

Ainsi disparaît un prince de la logique qui a appliqué son intelligence fulgurante à démonter l'histoire officielle des attentats du 11 septembre.

C'est Gerard Holmbren qui le premier a mis en évidence, en novembre 2003 (intervention originale du 13 novembre 2003 ; intervention légèrement révisée par lui-même le 25 septembre 2006) l'absence étrange de la base de donnée de l'U.S. Bureau of Transportation Statistics, accessible par le Web (adresse actuelle) de 2 des 4 vols d'avions impliqués dans les attentats du 11 septembre, les vols AA11 (de Boston Logan - BOS) et AA77 (de Washington Dulles - IAD), alors que les deux autres vols impliquée, UA93 (de Newark - EWR) et UA175 (de Boston Logan, comme le vol AA11), sont présents. L'information dans la base de donnée a été modifiée depuis sa découverte, mais aujourd'hui encore, le lecteur peut en faire l'expérience, ces deux vols restent déclarés comme n'ayant jamais décollé !

Gerard Holmgren s'était retiré avec fracas de tout débat sur le sujet du 11 septembre, en juillet 2007.

Mais qu'aurait-il donc eu de plus à prouver ? Il avait déjà parcouru tout le chemin de la déconstruction de l'histoire officielle, jusqu'au symbole même des attentats : les avions. Il s'était consacré depuis à l'enseignement de la guitare, qu'il jouait remarquablement.

Gérard, nombreux nous sommes à t'admirer et à t'être redevables d'avoir approché la connaissance de la vérité. Que Dieu t'ouvre ses bras  !


Hommages :

Lynn Ertell

(ajouté le 31 juillet 2010)
Hommage lu sur www.onlinetributes.com.au/Gerard_Holmgren/ traduit ici :

Un intellectuel brillant et courageux

Lynn Ertell, 24 juin 2010

Je ne l'ai jamais rencontré face à face, mais j'ai eu le privilège de correspondre avec lui par courriel et de souvent discuter des problèmes du 11 septembre avec lui dans différents forums de discussion sur le Web.

Holmgren est le penseur le plus puissant qui j'ai connu dans ma vie, doué d'une extraordinaire maîtrise du détail et d'une logique en béton. Il m'a véritablement appris comment valider et analyser les indices matériels, comment formuler des hypothèses vérifiables, comment reconnaître les artifices rhétoriques de la tromperie et comment jeter la lumière sur les absurdités logiques.

Sa méthode de recherche a été une source d'inspiration. Il est devenu l'exemple pour moi quand il s'agit de comprendre la réalité et de rechercher la vérité... Il était mon professeur et mon maître. Il manquera beaucoup.

Lyn Ertell - the saigirl

Jim Fetzer, Morgan Reynold, Rosalee Grable, Nico Haupt, Peggy Carter

(ajouté le 5 novembre, complété le 11 novembre 2010)
Le 24 juin 2010, James (Jim) Fetzer a consacré une émission spéciale de deux heures et demi de sa série d'émissions The Real Deal, diffusé sur Revere radio, à rendre un hommage vibrant et chaleureux à Gerard Holmgren, en s'entretenant avec
Morgan Reynold,
Rosalee Grable,
Nico Haupt, et
Peggy Carter.

Cet hommage était extrêmement chaleureux et élogieux des multiples et puissantes qualités de Gerard Holmgren.

Gerard Holmgren était un puissant débatteur, un écrivain hors pair, à la grande qualité d'argumentation et à la logique impeccable. Son grand sens de l'humour lui a permis des parodies comme celle sur les théories de la conspiration appliqué à l'explication officielle. [Ayant passé du temps à lire et traduire certains de ses textes, le rédacteur de ses lignes ne peut s'empêcher de penser, en voyant son style, caractérisé par sa concision, sa richesse de vocabulaire et son humour tinté d'une forte ironie, à rien moins que Shakespeare !] C'était un pionnier dans la recherche sur les attentats du 11 septembre. Morgan Reynolds le place parmi les trois plus grands pionniers, au côté de Thierry Meyssan et Rosalee Grable. Il ajoute à cette trilogie Judy Wood.

Au delà de toutes ces qualités, Gérard Holmgren était, selon Morgan Reynolds, qui a lu à l'antenne le message d'un de ses amis d'enfance, Stewart West, qui était à son chevet les trois dernier jours de sa vie, un doux et un pur. Pour expliquer les différents qui l'ont finalement éloignés de l'industrie du 11 septembre, Morgan Reynolds met en avant cette pureté extrême qui l'amenait à refuser toute concession avec la vérité.

James Fetzer a rappelé le différent qui l'a opposé à Holmgren à partir de décembre 2005, quand il a accordé à Steven Jones la vice-présidence du mouvement des universitaires pour la vérité sur le 11 septembre, et qu'il défendait celui-ci contre les attaques de Gerard Holmgren. Intéressante remarque quand on connait la suite de l'histoire avec la tentative de prise de contrôle du mouvement par Jones puis sa scission avec la création du mouvement pour la vérité et la justice par Jones et le conflit qui a suivi entre les deux. Jones et ses alliés veulent restreindre le champs des recherches sur le 11 septembre au nom de la crédibilité, Fetzer restant plus ouvert aux éléments nouveaux.

scholarsfor911truth.org
www.scholarsfor911truth.org

Illustration du divorce, au cours de l'année 2006 entre Fetzer et Jones :

Le site d'origine de l'association (propriétaire du site Kevin Barett) :
http://www.scholarsfor911truth.org/
est réduit à sa page d'accueil qui affiche de manière symétrique deux liens :

"Scholars for 9/11 Truth"
(Dr. James H. Fetzer, founder)
http://911scholars.org
et
"Scholars for 9/11 Truth & Justice"
(Dr. Steven E. Jones, member)
http://stj911.org

Exemple de leurs disputes :
http://911scholars.org/FetzerRespondsJones.html
Scholars for 9/11 Truth, Jim Fetzer Responds to Steve Jones, 9 December 2006
http://www.journalof911studies.com/letters/JonesRepliesToFetzer.pdf
Steven Jones Replies to James Fetzer June 12, 2007, Dr. Steven Jones

Jim Fetzer a également rappelé qu'il lui a fallu un an et demi pour accepter de considérer l'hypothèse "pas d'avion" dont Morgan Reynolds, pendant tout ce temps, tentait avec fougue de le convaincre.

Peggy Carter a consacre toute sa demi-heure de temps de parole à lire un texte de Gerard Holmgren, publié en janvier 2003, intitulé Debunking Conspiracy Theorists, que l'on peut trouver ici : http://www.mindfully.org/Reform/2003/Conspiracy-Theorists-Holmgren12feb03.htm précisément le texte d'une cruelle ironie, auquel Morgan Reynolds avait fait référence plus tôt, qui retourne contre les tenants de la thèse officielle les arguments tant de fois jetés à la figure de ceux qui expriment des doutes, en citant les accumulation d'incohérences délirantes qui soutiennent cette thèse officielle des 19 pirates de l'air arabes armés de cutters, fanatisés depuis sa grotte par le génie du mal Oussama Ben Laden, pour aucun autre motif que la haine de notre liberté.

Références :

http://radiofetzer.blogspot.com/2010/06/gerard-holmgren-5-part-memorial.html
Toutes les émissions de la série :
http://radiofetzer.blogspot.com/
Revereradio :
http://revereradio.net/content.php?116-Schedule;1%202

James Fetzer :
http://en.wikipedia.org/wiki/James_Henry_Fetzer
Professeur émérite de University of Minnesota, Duluth http://www.d.umn.edu/~jfetzer/.
Philosophe spécialisé en philosophie des sciences, fondateur de Scholars for 9/11 truth fondateur de "Scholars for 9/11 Truth" http://911scholars.org

Morgan Reynolds :
Professeur émérite de Texas A&M University, économiste, ancien directeur de la Direction économique du département du Travail (2001-2002).
Morgan Reynolds a mis tout son poids, à partir d'une article du 9 juin 2005, (Why Did the Trade Center Skyscrapers Collapse? Morgan Reynolds — June 9, 2005) dans la promotion de l'hypothèse qu'il n'y aurait aucun crash de Boeing pour les attentats du 11 septembre, en particulier dans les tours jumelles du World Trade Center (WTC). Il soutient également la recherche de Judy Wood qui porte sur la démolition des tours et soutien l'hypothèse d'utilisation de hautes technologies.
Site perso : http://nomoregames.net/
Morgan Reynolds s'est donné le mal de mettre en ligne sur son site, au contenu précieux et rare, le verbatim de son intervention dans cette émission :
http://nomoregames.net/index.php?page=911&subpage1=real_deal_holmgren

Rosalee Grable :
A été pionnière de l'hypothèse qu'il n'y a pas eu de crash de Boeing sur les tours jumelles. (Sa page Whatzit?!? thewebfairy.com/whatzit, du début de l'année 2002 contestait que l'objet volant vu dans le documentaire des frères Naudet s'écrasant sur la tour Nord, la première tour, soit un Boeing 767.) Elle a été amenée à cette hypothèse, qu'elle a ensuite étendue au crash "vu à la télé" sur la tour Sud, la deuxième tour.
(Une analyse très fouillée, établie entre 2002 et 2010, du documentaire des frères Naudet par l'Écossais Leslie Raphael www.frankresearch.info/Naudet911 - autre lien vers une version de 2007 de l'étude, met en évidence la mise-en-scène du film et son intrication dans les attentats.)
Rosalee Grable soutient comme Judy Wood l'hypothèse "high-tech" dans le déroulement des attentats des tours jumelles.
Site perso : http://thewebfairy.com/911

Nico Haupt :
Activiste New-yorkais d'origine allemande, militant de ces hypothèses "pas d'avion" et "high-tech." Pionier de l'équipe d'investigation team8plus qui a travaillé en 2004.
Bio par lui-même www.911closeup.com/nico/911bio.html.
Bio à sa date de suppression de la Wikipedia, en mai 2008, sur deletionpedia.dbatley.com.
Compte friendfeed : http://friendfeed.com/ewing2001.

Peggy Carter :
Également une activiste New-yorkaise.

Thierry Meyssan :
(Page d'auteur sur www.voltairenet.org.) Auteur de "l'effroyable imposture", publié en France le 11 mars 2002 aux éditions Carnot (archive du site carnot.fr au 3 avril 2005 par archive.org), qui avait publié dés le 8 octobre 2001 sur son site des éléments troublants et des photos concernant l'attentat du Pentagone, suggérant qu'aucun Boeing ne s'y était écrasé : "Les mystères de l'attentat contre le Pentagone" (sur reseauvoltaire.net par archive.org - sur voltairenet.org - historique sur son site www.effroyable-imposture.net), puis, le 10 février 2002, le webzine de Raphaël Meyssan, l'asile utopique (asile.org), a publié une page illustrée reprenant ces informations sous la forme d'un jeu des 7 erreurs habilement présenté.
L'hypothèse initiale de Meyssan (pas d'avion, pas de missile, mais une explosion interne) est brillamment confirmée en 2009 par l'enquête soigneuse et les témoignages recueillis par la Citizen Investigation Team (CIT, www.citizeninvestigationteam.com animée par Craig Ranke et Aldo Marquis) qui, par un soigneux travail de journalistes d'investigation, a démontré par des témoignages recoupés que l'avion a survolé le Pentagone après une trajectoire finale au nord de la station d'essence CITGO, différente de la trajectoire officielle, au sud de la station, imposée par les pylônes de lampadaires soit-disant renversés par l'avion. Craig Ranke a provoqué au passage la confusion de Lloyde England, le chauffeur du taxi soit-disant heurté par l'un de ces pylônes. Lloyde England a donc participé à une mise-en-scène. Très bonne analyse en Français sur le site d'Alexis Kropotkine (faitsdivers.blog4ever.com), organisateur de la tournée européenne de Craig Ranke en septembre 2010, qui a parlé à Paris le 11 septembre 2010. Interview de Thierry Meyssan sur les travaux de CIT par Kropotkine.

Judy Wood :
Ancien professeur de génie mécanique à l'université de Clemson, Caroline du Sud, elle poursuit ses recherches principalement sur les attentats du WTC. Elle s'intéresse tout particulièrement à la démolition des tours.
Site perso : http://drjudywood.com/

Steven Jones :
(ajouté le 11 novembre) Physicien, professeur émérite de Brigham Young University. S'est engagé en novembre 2005 dans la contestation de la version officielle du 11 septembre par une article publié sur son espace personnel sur le site de son université, "Why Indeed Did the WTC Buildings Collapse?" (24 novembre 2005 sur archive.org) qui lui a immédiatement attiré les railleries argumentées de Gerard Holmgren qui lui reproche d'enfoncer des portes ouvertes dans sa découverte de la démolition contrôlée, et qui a décelé un manque de sérieux dans son argumentation avancée pour rejeter les hypothèses "pas d'avion", illustré par sa confusion sur le type des avions impliqués (Jones évoque des Boeing 757 alors que ce sont officiellement des Boeing 767). The Dark Side of Professor Steven E. Jones, 17-22 décembre 2005 (thewebfairy.com/holmgren/holmgren/darkside.html). La controverse autour de sa prise de position et la mise en congé par son université le 2 septembre 2006, a attiré l'attention sur lui et l'a transformé en icône scientifique du "mouvement pour la vérité". Son "martyr" a été bref comme en témoigne le statut de "professeur émérite" avec lequel il est parti à la retraite, dés le 1er janvier 2007 (sources Wikipedia, Tad Walch, Deseret News, 22 octobre 2006)

Écrits de Gerard Holmgren

Ressources

Deux URL, toutes deux sur un sites tenus par Rosalee Grable, sont des pages d'accueil pour de nombreux articles de Gerard Holmgren.

911closeup.com
Page d'accueil d'un site regroupant un certain nombre de ses interventions fulgurantes sur le 11 septembre, qui est également, directement, la page de l'article "Pourquoi ils n'ont pas utilisé d'avion" traduit ci-après.

thewebfairy.com/holmgren/holmgren
Autres collection d'articles encore plus complète, dont ses articles de recherche originale (lien ajouté le 28 octobre).
(La liste en vrac :thewebfairy.com/holmgren)

En supplément :

http://www.mindfully.org/Reform/2003/Conspiracy-Theorists-Holmgren12feb03.htm
Debunking Conspiracy Theorists, le texte de janvier 2003 lu par Peggy Carter le 24 juin 2010 dans l'émission spéciale (rappelée plus haut) de The Real Deal consacrée par Jim Fetzer à l'hommage de Gerard Holmgren.


"Pourquoi ils n'ont pas utilisé d'avion." Un article publié en 2005

(publié le 27 mai 2010)
Pour illustrer le travail pénétrant et logique de l'esprit de Gerard Holmgren, voici-après la traduction en français de son intervention, antérieure à la fin 2005, [attesté à cette adresse par archive.org depuis novembre 2005] sur la logique des terroristes assassins qui ont préparé, organisé et exécuté les attentats.

Ce texte touche un point hautement sensible de l'état d'esprit du milieu de la contestation du 11 septembre : le refus obtus de l'élite dominante de ce milieu contestataire d'accepter d'envisager la possibilité qu'aucun gros avion à réaction n'ai été employé dans les quatre crash du 11 septembre, alors que c'est cette hypothèse elle-même, à laquelle ils s'accrochent avec tant d'énergie contre toutes évidences (les images, les témoignages, les débris...), l'emploi de gros avions à réaction, qui ancre dans l'esprit du grand public et des médias dominants, l'histoire des quatre avions détournés par 19 kamikazes arabes armés de couteaux de poche et de cutters, qu'ils prétendent pourtant combattre.

Depuis 2005, année de rédaction de ce texte fulgurant, la contestation dominante qui n'a pas compris cela, tourne en rond. En effet, si gros avions il y a eu et qu'il n'y avait pas les 19 kamikazes à bord, il faut, pour envisager les attentats, imaginer un tel réseau de complicité que les esprits raisonnables écartent toute idée de complot. Alors que sans gros avion, l'organisation, l'exécution et l'effacement des indices des attentats devient tout de suite nettement plus simple à envisager. On peut enfin concevoir que ces attentats aient réellement pu se produire sans les kamikazes et leurs cutters, avec une équipe pas plus importante que, par exemple, 19 kamikazes et les complices qu'on leur prête !

Adresse de l'article en anglais (titre original : Why they didn't use planes) :
911closeup.com (également page d'accueil pour d'autres articles de Holmgren)

Pourquoi ils n'ont pas utilisé d'avion.

Par Gerard Holmgren
2005

Parfois, les gens me posent la question "pourquoi auraient-ils utilisé des missiles ou autre au risque de se faire prendre ? S'ils étaient décidés à vendre une histoire d'avions, pourquoi donc ne pas la rendre la plus crédible possible en utilisant de vrais avions ?"

La question est idiote, parce-que devant l'accumulation de preuves qu'effectivement ils n'ont pas utilisé d'avions (dont surtout l'infime quantité de témoignages allant dans ce sens), spéculer sur leur pensée et leur plans n'a aucun sens.

Mais enfin, puisque nous vivons dans une époque particulièrement idiote, je vais y répondre quand-même.

Mettez-vous dans la peau des criminels, des terroristes. Vous devez penser à tout ce qui pourrait aller de travers dans tous les cas de figures possibles de déroulement de vos scénarios, et ensuite choisir celui qui présente le minimum de risques.

Vous avez décidé de vendre une histoire d'avions détournés.

Au premier niveau de décision, vous avez deux choix.

1) utiliser de vrais avions.

2) utiliser des missiles ou d'autres engins exotiques, et convaincre les gens que c'étaient des avions.

Penchons nous d'abord sur le deuxième scénario. Vous avez les médias avec vous pour raconter l'histoire. Qu'est-ce qui pourrait alors aller de travers ?

1) des témoins pourraient voir qu'il n'y avait pas eu d'avion et ils pourraient le raconter.

Et bien, c'est précisément ce qui s'est passé, mais c'est comme si personne ne s'en était aperçu. Le mythe des "milliers de témoins" d'une frappe par une gros avion continue à être répété dans une parfaite logique circulaire. "Étant donné qu'il y avait bien de gros avions à réaction, c'est donc que les gens doivent bien les avoir vu - et puisque les gens les ont vu, cela prouve qu'il y en avait."

Il est clair que les terroristes criminels ont bien pensé à minimiser le problème des rapports contradictoires de témoins, et qu'ils ont prévu pour cela un plan simple et efficace.

Le problème est facile à minimiser. La première frappe survient. Étant donné que l'objet est petit, rapide et imprévu, personne n'est vraiment sûr ce ce que c'était, ni vraiment sûr d'avoir bien vu. Quelques témoignages sont diffusés qui parlent de missiles ou de petits avions ou même de l'absence de tout objet aérien, mais ils ne disposent que d'une fenêtre de 18 minutes avant que la terre entière ne voit le gros avion à réaction en direct à la télévision - créé avec un simple procédé d'animation en temps réel basé sur des technologies du commerce. Ça a pour effet de dissuader les médias de chercher à interviewer de nombreux témoins de la deuxième frappe, étant donné que tout le monde a son attention obnubilée par le film que repasse en boucle à la télé. Les quelques témoins qui accèderaient à un temps de passage devant les médias, perdent alors confiance dans ce qu'ils ont vu, étant donné que, cette fois encore, l'objet était petit, rapide et inattendu. En regardant la rediffusion télévisée - qui a été immédiatement disponible - ils pourraient alors penser qu'ils n'ont tout simplement pas bien vu. Le peu qui reste ferme dans sa conviction que ce n'était pas un gros avion est facilement réduit au silence et noyé par les rediffusions sans fin. De plus, les compagnies aériennes publient un communiqué qui déclare qu'elles ont perdu deux gros avions, et tous les témoignages contradictoires sont *immédiatement* - à l'instant même de la deuxième frappe - marginalisés quasiment jusqu'à l'oubli.

Ceci n'est pas une spéculation. Lisez les retranscriptions de ce qui a été diffusé en direct entre environ 8h47 et 9h30 et vous verrez que c'est *exactement* ce qui s'est passé. À partir de l'instant de la deuxième frappe, dés que quelqu'un essayait de dire que ce n'était pas un gros avion, on lui repassait le film de la télévision.

Le peu de témoignages qui auront pu être rassemblés dans le faible intervalle de temps séparant les deux frappes n'a pas suffit à provoquer de réels dégâts, et tous ceux qui ont pu parler après ont eu leur témoignage dévoyé par le fait que, dés qu'ils ouvraient la bouche, on leur repassait immédiatement le film du deuxième avion à réaction tel qu'il avait été diffusé à la télévision.

Dans le court intervalle de temps entre les deux frappes, un seul témoin a parlé de gros avion à réaction - et il se trouve que c'était justement le vice-président de CNN, qui, bien sûr, est directement impliqué dans l'opération – au même titre que le gouvernement.

Nous pouvons donc voir que le problème des témoins contraires, une gêne évidente mais mineure, est facilement contourné grâce à une bonne planification.

Encore une fois, ceci n'est nullement de la spéculation. L'exécution réussi de ce plan a été testé dans le monde réel – et ça marche. Le scénario que j'ai décrit correspond exactement aux événements tels qu'ils ont été enregistrés.

Une fois qu'a été déclenché le phénomène moutonnier, tout le monde entonne : "que faites-vous avec les gens qui on vu ?" Mais ne se donne jamais la peine de vérifier leurs témoignages exacts. Et si vraiment on se donne la peine de vérifier, la quantité de rapports n'est pas suffisante pour provoquer des dégâts majeurs au récit officiel. Le peu dont nous disposons soutient nettement qu'il y avait autre chose qu'un gros avion à réaction, mais on n'a pas disposé de suffisamment de temps pour rassembler assez de témoignages pour qu'ils puissent devenir des facteurs de preuve significatifs. Et comme le passant ordinaire, la plupart d'entre eux serait facilement convaincu d'avoir mal vu. Certains pourraient conserver des doutes et de la suspicion, mais on les aurait rapidement réduit au silence par le ridicule et le déni, grâce à la pression toute puissante de l'image télévisée, et celle du monde entier essayant de les convaincre qu'ils auront mal vu. La plupart devrait finalement le croire également.

C'est ainsi que ce problème est facilement surmontable. Aucun récit médiatique ne peut tout résoudre, et certainement, il reste des doutes exprimés et de la suspicion parmi quelques personnes qui étaient sur les lieux, mais cela n'est pas suffisant pour provoquer un problème sérieux.

Passons maintenant à l'autre problème.

Quelqu'un pourrait regarder les vidéos et y découvrir ce qu'il y avait exactement. C'est exactement ce que Rosalee [Grable, alias Webfairy] a fait. Alors, les gens passent dans le déni par contrôle mental. Les médias alternatifs sont submergés sans fin par les discréditeurs. Les terroristes criminels connaissaient bien notre psychologie. Ils ne se seraient certainement pas réjouis par la vague de fond de prise de conscience que Rosalee a mise en action, mais cela reste gérable comparé aux problèmes dont je vais maintenant traiter qui subviendraient avec la stratégie d'utilisation de vrais avions à réaction.

J'insiste, ceci n'est nullement de la spéculation. La manière avec laquelle ces deux problèmes ont été gérés a été testé dans le monde réel, cela correspond exactement avec les faits tels qu'ils ont été enregistrés, et le fait que j'ai même besoin d'écrire ceci, 3 ans après que Rosalee ait la première décelé et expliqué les preuve présentes dans les vidéos, est un témoignage de la sagesse avec laquelle les terroristes criminels ont évalué leur choix de stratégie.

Examinons maintenant le choix alternatif, utiliser de vrais avions à réaction.

Ce choix se divise immédiatement en deux 1) Les faire piloter par des pilotes-suicides 2) les piloter à distance.

Le problème lié au premier choix est évident et je pense que la plupart des gens sur cette liste [de discussion] ont déjà compris l'absurdité et les difficultés monstrueuses d'un tel scénario, donc je ne vais pas m'appesantir dessus.

Pilotage à distance.

Avant de traiter des problèmes liés à ceci, le scénario se divise en plus de choix.

1) Détourner un vol réel avec de vrais passagers à bord. 2) Faire décoller un avion de quelque part et le faire passer pour une vol réel.

Le choix est de crasher un avion, soit avec des passagers à bord, soit sans passagers à bord. Les deux options créent des problèmes potentiellement insurmontables pour faire disparaître les indices – et surtout, elles réduisent la probabilité de coup au but des avions.

Examinons ce dernier problème. Même si c'est certainement faisable de diriger à distance un gros avion à réaction dans les tours, il s'agit tout de même d'un tir de haute précision à réaliser avec un aéronef très faiblement manœuvrant. Il y a un risque significatif que l'avion ne frappe pas correctement sa cible, qu'il frappe un autre immeuble, qu'il coupe simplement son aile sur la tour et tombe dans les rues ou qu'il provoque une chaine de dégâts sur d'autres immeubles non visés, qu'il rate tout et tombe dans l'Hudson, encore à peu près intact – toutes sortes de risques possibles.

Quelle que soit la probabilité d'un crash réussi, elle serait nettement inférieure à celle d'un missile ou de l'engin qui a frappé, conçu spécifiquement pour réaliser de telles frappes de précisions.

Même la plus petite augmentation du risque que la cible ne soit pas frappée correctement serait totalement inacceptable, considérant la facilité avec laquelle peuvent être gérés les problèmes liés à au scénario alternatif.

De plus, rater la cible n'est que le début du problème. Comment gérer les suites ? Une fois que la cible est ratée, il y a un risque significatif que l'aéronef s'écrase en laissant des débris relativement intacts. Les secours et les services d'urgence qui sont totalement innocents dans l'opération, et les gens ordinaires qui veulent aider vont atteindre les débris avant n'importe lequel des criminels, étant donné que l'emplacement du crash ne peut pas, dans ce cas là, être prévu à l'avance.

Que vont-ils trouver ? Deux possibilités. Un avion sans personnes à bord. Comment les terroristes vont-il expliquer la chose, hein ? Ou un avion avec des passagers. Cela pose encore plus de problèmes. Utiliser un avion avec des passagers implique deux choix supplémentaires.

1) Compter sur le fait que tous les passagers seront bien tués dans le crash, afin qu'aucun survivant ne parle, ou sur le fait que les criminels atteignent le lieu du crash avant tout le monde et puissent les éliminer avant qu'ils ne puissent parler.

2) Les tuer avant le crash par un gaz introduit au moment voulu dans le circuit de la climatisation. Ceci bien sûr laisse plus d'indices judiciaires qu'il faudra dissimuler, quand les corps seront examinés. Imaginez l'ampleur de l'opération à lancer afin d'avoir suffisamment de criminels sur le lieux des débris assez rapidement pour pouvoir maîtriser ce que les médias, des sauveteurs innocents ou des survivants pourraient commencer à raconter, avant que la propagande médiatique prenne le relais. Tout ceci est nettement pire que ce qu'un petit nombre de témoins pourraient raconter pendant les 18 minutes qui séparent les deux frappes.

Ces problèmes ne se limitent pas au scénario de l'avion que ne se crashe pas là où c'est prévu. Dans le cas ou les avions réussiraient à se crasher comme prévu dans les tours, il reste encore possible – même si peu probable – qu'il y ait des survivants. Admettons tout de même que tout le monde soit tué, de vrais crashs avec de vrais passagers laisse derrière de vrais cadavres. Ils ne se vaporisent pas comme dans le dessin animé du 11 septembre. Vous devez vous soucier des centaines de corps susceptibles d'être retrouvés. Si ils avaient été tués avec du gaz avant le crash, vous vous trouvez devant le même cauchemar de dissimulation des indices judiciaires, comme pour le scénario dans lequel les avions ratent leur cible.

Et si vous évitez ce problème en comptant sur le fait que tout le monde a été tué dans le crash, vous êtes devant le risque horrible d'avoir des douzaines de survivants à devoir faire taire – peu probable si l'avion a frappé correctement sa cible – mais vous n'en êtes pas absolument sûr.

En plus, de vrais avions laissent derrière de vrais épaves – pas comme dans le dessin animé du 11 septembre – ce qui veut dire que de vrais boites noires seront trouvées et d'autres pièces encore qu'il faudra dissimuler, mettant en cause des officiels innocents sur lesquels il faudra faire pression. Naturellement, on peut imposer d'énormes pressions, mais le problème est la quantité de fuites qui se produiront avant que la pression médiatique ne produise son effet. Tout ceci est nettement pire que ce qu'un petit nombre de témoins pourraient raconter pendant les 18 minutes qui séparent les deux frappes, et ce qu'une chercheuse marginalisée peut poster sur son site web en espérant que les gens s'en apercevront.

Comme vous pouvez voir, le scénario d'utiliser de vrais avions crée un cauchemar logistique comparé au problèmes minimes créés par le peu de témoins de l'engin réel, et par les conspirationistes cinglés qui analysent les vidéos – facilement éliminés par les médias complaisants.

Quand on commet un crime, l'idée est ne ne laisser derrière soi aussi peu de désordre que possible, parce que le moindre élément de désordre est un indice potentiel. Même dans le cas d'un crash réussi, un avion réel, en répandant partout des débris et des corps, crée une quantité énorme d'éléments désordonnés à camoufler, en comparaison du problème relativement net provoqué par le peu de témoins et les quelques conspirationistes cinglés qui essayent de dire aux gens ce qui est montré dans les vidéos.

Planehugger
Amoureux de l'avion (planehugger), merci Nico

Les problèmes avec le scénario du vrais avion sont énormes et se cumulent avec la possibilité d'un crash raté, dont la probabilité augmente significativement en cas d'utilisation d'un gros avion de transport à réaction qui n'est pas spécialement conçu pour cette tâche, contrairement aux armement de précision qui sont bien plus fiables. Dans la situation improbable d'un missile qui raterait sa cible, il y aurait beaucoup moins de désordre qui laisserait des éléments de preuve, et un option de type "plan B" est plus facile à choisir, comme l'histoire des terroristes qui ont volé des missiles pour les tirer sur New-York.

Cette explication devrait, espérons le, mettre fin une fois pour toutes à ce roman de science-fiction d'amour des avions [plane hugging fantasy] – mais cependant, les temps que nous vivons sont vraiment extrêmement idiots.


Sur de thème "pas d'avion" : autre article de Gérard Holmgren (non exaustif) :
What Witnesses? / Quels témoins ?

Références utiles :
WTC Planehugger Therapy -Top 30 FAQ
et
9/11 NY Aircraft 'Witnesses'
By Nico Haupt 

April 7, 2006


Gerard Holmgren, son parcours intellectuel, le "mouvement pour la vérité", par lui-même.

(28 octobre 2010)
Holmgren (à la production volumineuse) est sérieux, rigoureux, précautionneux, et a accompli un "travail d'enquête et d'examen des faits". Il a su examiner les faits, tous les faits qui lui étaient présentés, sans éliminer ceux qui pourraient déranger "un scénario qu'il a en tête". Au rebours d'une croyance en un tel scénario préétabli et figé qu'il défendrait contre vent et marées (que trop de gens malheureusement professent), il a tout au long de son cheminement intellectuel été capable de faire évoluer son opinion en fonction des faits rencontrés.

Dans l'article qui suit, il raconte lui-même son parcours intellectuel à propos des attentats du 11 septembre.

Un intérêt supplémentaire de ce document est qu'il attire notre attention sur les authentiques pionniers de l'étude honnête des attentats du 11 septembre, ceux qui les premiers ont apporté des contributions majeures dans l'approche de la vérité, et les distingue bien de ceux qui, n'ayant rien trouvé, ont tiré la couverture à eux et cherché à éliminer ces véritables pionniers, tout en s'auto-proclamant les portes-parole du Mouvement pour la non-vérité et en s'arrogeant le droit de décréter ce qu'il faut dire et ce qu'il faut taire.

(28 octobre 2010) Original en anglais : Un-Truther Cover Story (www.911closeup.com)

L'histoire de couverture du non-chercheur de vérité,

par Gerard Holmgren,
13 octobre 2005

[NdT :
Il y a plus de 5 ans, une durée plus longue que les 4 ans et 1 mois écoulés entre le 11 septembre et la publication de ce texte : ami lecteur, compare le chemin parcouru entre le 11 septembre et l'article de Holmgren, puis entre son article et maintenant !]

Dans une tentative désespérée de dissimuler sa complicité avec l'histoire officielle, le mouvement pour la non-vérité sur le 11 septembre a essayé de faire croire qu'il n'y avait qu'une seule division majeure, celle qui concerne l'emploi ou non d'avions au World Trade Center, et que je serais une sorte de fasciste intellectuel qui hurle après quiconque est en désaccord à propos de détails quelconque, quels qu'ils soient.

L'histoire réelle est quelque peu différente. La négation hystérique, la désinformation et les attaques permanentes sur les preuves de l'absence d'avion au World Trade Center, ne sont que le dernier épisode d'une longue histoire au cours de laquelle beaucoup de ceux qui se font maintenant appeler le mouvement pour la non-vérité combattent bec et ongles contre toute espèce de preuve.

Comme déjà démontré, Levis et Ruppert ont combattu bec et ongles les preuves de démolition.

[NdT :
Nicholas Levis, co-fondateur de NY911Truth www.summeroftruth.org/enemy,
Mike Rupperts (www.fromthewilderness.com), autre discussion à leur propos : (osdir.com/ml/culture.discuss.cia-drugs/2005-10/msg00188.html)]

Faut-il que je recopie des commentaires de Ruppert ?

"Candidats à la désélection darwinienne... Abandonnez cette merde... Le prochain qui m'envoie de tels détritus..." Alors même que, d'après ses propres mots, il était en fait plutôt convaincu en privé qu'il y avait eu démolition.

Comme il le démontre dans sa vidéo "Vérité et mensonges" ("Truth and Lies"), Ruppert disqualifie les preuves de démolition en les traitant de "spéculations". Comparez ceci avec les commentaires qu'il a fait plus tard, comme quoi, soit-disant, il y avait cru depuis le début.

On se demande aussi pourquoi Ruppert a été aussi rapide à dénigrer toute idée de démolition. Il a commencé dés le 13 septembre 2001 ! En répétant des mensonges stupides sur la température de fusion de l'acier, en parlant de ce que son ex-femme avait vu et même en inventant un document imaginaire supposé contenir un avis d'expert. Pourquoi tant de hâte ?

Les preuves du Pentagone ont également été combattues bec et ongles par John Judge, Kyle Hence, Nic Levis, Ruppert etc...

[NdT :
John Judge www.judgeforyourself.us
Kyle Hence 911citizenswatch.org
Levis et Rupert : cf. note précédente]

Judge a même été jusqu'à affirmer le mensonge ridicule d'un de ses amis qui aurait vu la queue de l'avion sur le gazon. (Invisible sur les photos et les films apparemment.) Quand finalement ceci est devenu trop embarrassant, il a modifié l'histoire pour celle de la queue qui aurait été vue à l'intérieur du bâtiment.

Judge m'a écrit personnellement pour m'assurer que les pirates de l'air étaient à bord du vol 77 parce qu'un de ses amis les avait justement vu embarquer à Dulles.

Qu'est-que cela ? Ouï-dire ? Désinformation ?

L'absence de preuve de pirates de l'air arabes a été combattue bec et ongles par la même foule.

Même les preuves de non intervention volontaire de l'Armée de l'air ("Stand down"), qui semblaient acceptées au début, ont été affaiblies et noyées par de pâles imitations des recherches originales.

J'ai l'impression d'être quasiment le seul à faire référence directement et principalement aux recherches originales de tenc, qui, bien que limitées dans leur champs, demeurent encore aujourd'hui parmi les plus précises qui aient jamais été menées par de *véritables* chercheurs de vérité.

[NdT :
tenc : recherches de Jared Israel et Illarion Bykov publiées entre novembre 2001 et janvier 2002 sur le site www.tenc.net "The Emperor's New Clothes" de Jared Israel ; le site archivé tel qu'il était à la date du 26 janvier 2002, sur web.archive.org ; info de Holmgren datée de 6 janvier 2006 dans un message sur www.mail-archive.com/political-research@yahoogroups.com]

Le cas a été documenté de manière tellement complète qu'un simple lien vers la recherche originale est tout ce qui est nécessaire pour promouvoir ce sujet particulier. Mais partout sur le Net, on peut voir que le "mouvement pour la vérité" retire discrètement les articles de tenc et les remplace par des articles vagues tournant autour de "Nous devons demander pourquoi les avions de combat n'ont pas été envoyés plus tôt en interception."

Comme la capacité de dénie de certains est telle qu'ils essayent même de retourner la magnifique qualité des recherches de tenc, un site Web qui raisonne vaguement sur "ce qui n'a pas marché" pour l'Armée de l'air n'aura pas beaucoup d'impact - ce qui est bien sûr toute l'idée de ces imitateurs de pacotille.

Ce qu'ils font, c'est enterrer la recherche de qualité - l'émousser avec des imitations bon marché, mal vérifiées, et mal argumentées.

Kyle Hence et Bill Douglas m'ont tout les deux expliqué comme négociable leur objectif d'utiliser tous les moyens en leur pouvoir pour empêcher les familles des victimes de voir une quelconque de ces recherches.

[NdT :
Hence, cf. deux notes plus haut,
Bill Douglas, fondateur de 911 visibility (visibility911.libsyn.com)]

Les preuves du BTS (Bureau of Transportation Statistics) ont été combattues bec et ongles. Le site Web de Mark Rabinowitz ment purement et simplement sur la façon dont la base de donnée fonctionne, dans une tentative de jeter un rideau de fumée.

[NdT :
voir plus haut : les statistique du Bureau of Transportation http://www.bts.gov sur les mouvements d'avions, qui montrent que les vols AA11 et AA77 n'ont jamais été programmés le 11 septembre (situation de la base de donnée accessible par le Web à la fin 2003, quand Gerard Holmgren les a découvertes, et n'ont jamais décollé (situation de la base de donnée à cette époque et telle qu'on peut encore le constater aujourd'hui)
Article original de Gerard Holmgren du 13 novembre 2003 : webfairy.org/noplane ;
article légèrement révisée par lui-même le 25 septembre 2006 : thewebfairy.com/holmgren/1177.html ;
base du BTS donnée à son adresse actuelle : www.bts.gov/xml/ontimesummarystatistics/src/dstat/OntimeSummaryDepatures.xml.
Mark Rabinowitz : www.oilempire.us]

La preuve de falsification de la liste des passagers est également rejetée dans les ténèbres.

Quand ceux qui avaient si vigoureusement combattu la démolition ont traîné des pieds et des mains pour finalement admettre de manière réticente que peut-être cela pourrait avoir quelque mérite, ils se sont lancé immédiatement dans une campagne hystérique contre la preuve de l'utilisation de très hautes technologies.

Mais pendant ce temps, le maître es inconsistance Ruppert fanfaronnait partout avec son embarrassante débâcle Vreeland (n'était-ce pas des ouï-dires ?), ses fausses preuves mal documentées sur les options de vente, et ses harangues sans fin sur le pic pétrolier, le crack de la bourse, l'effondrement du marché immobilier, le prix de l'or, etc... Sujets dont certains sont d'une certaine façon liés à la politique qui est derrière l'événement, mais qui ne peuvent pas être considérés comme des éléments probants sur ce qui s'est réellement passé ce jour-là, même documentés par les meilleurs chercheurs, quant à la catastrophique méthode journalistique de Ruppert...

[NdT :
Delmart Vreeland, un citoyen des États-Unis, repris de justice au Canada, qui a prétendu à son procès en janvier 2002, avoir eu connaissance préalable des projets d'attentats du 11 septembre pendant qu'il était dans l'Armée des États-Unis (www.fromthewilderness.com/free/ww3/index.shtml#vree)]

A chaque étape du chemin, presque tous les éléments de preuve les plus importants ont été combattus, ignorés ou étouffés, en recourant à de pâles imitations de recherches, par la plupart des gens que se font maintenant appeler le mouvement pour la non-vérité.

La preuve d'absence d'avion au World Trade Center n'est que la dernière dans une histoire qui dure depuis 4 ans.

D'une certaine manière, j'ai eu cette grâce d'avoir eu la faculté de réviser mon opinion au fur et à mesure que les preuves m'étaient présentées. Tout d'abord, même si je ressentais bien que quelque-chose clochait, j'ai cru tout simplement à l'histoire officielle.

Ensuite, tenc m'a convaincu que l'armée de l'air avait été été clouée au au sol. J'ai donc fait passer avec enthousiasme leurs articles et j'ai défendu leur cause dans les forums.

[NdT :
tenc détaillé plus haut]

Ensuite Gary North a attiré mon attention sur l'absence de nom arabe sur les listes des passagers. J'ai regardé cela avec plus d'attention et j'ai commencé à faire passer et défendre cette cause.

[NdT :
Le problème avec les listes des passagers publiées (The Perplexing Puzzle Of The Published Passenger Lists) par Gary North, publié le 12 octobre 2001 dans sa lettre d'information Gary North's REALITY CHECK (dailyreckoning.com/get-reality), numéro 82 : www.rense.com/general15/perplexingpuzzle.htm.
(En 2010, 9 ans après les détournements des 4 avions, aucune réponse n'a été apporté aux simples questions de bon sens et de logique posées par North sur les multiples incohérences des listes de passagers (killtown.911review.org/oddities/2001.html#September13,2001-passenger_lists) des 4 avions et l'impossibilité matérielle qu'il y ait eu à bord l'un quelconque des 19 pirates de l'air arabes dont les noms avaient été publiés par le FBI le 14 septembre (killtown.911review.org/oddities/2001.html#September14,2001-FBI_hijackers (et les photos le 27 - killtown.911review.org/oddities/2001.html). Ces questions ont été posées juste un mois après les détournements).
Gary North en.wikipedia.org/wiki/Gary_North_%28Christian_Reconstructionist%29 ; www.lewrockwell.com/north/north-arch.html ; autre article sceptique sur l'histoire officielle : www.lewrockwell.com/north/north60.html White House Shoots Down Air Force One Story, October 4, 2001.]

A ce moment là, j'ai commencé à suspecter que les avions pourraient avoir été télécommandés.

[NdT: souligné à l'attention des nombreux sympathisants de reopen911.info qui semblent être attachés à cette idée :)]

Ensuite Jay McMichael et Jeff King m'ont convaincu qu'il y avait eu démolition. J'ai donc commencé à faire passer et défendre cette cause.

[NdT :
Jay McMichael 911review.com/articles/jm/mslp_1.htm Muslims Suspend Laws of Physics! 21 octobre-25 novembre 2001].
Jeff King www.plaguepuppy.net/ ; en passant :  Jeff King a comme Killtown killtown.911review.org/lonegunmen.html, une page sur l'épisode pilote de 'The Lone Gunmen' www.plaguepuppy.net/public_html/Lone%20Gunmen/The_Lone_Gunmen_Episode_1.htm, ce film est en effet important : de même que l'histoire officielle est passée si facilement auprès du public parce qu'elle avait déjà été racontée dans des films avant le 11 septembre, de même tellement de "conspirationnistes" s'accrochent à cette histoire d'avions télécommandés parce qu'elle avait déjà été racontés dans un film, avant le 11 septembre ! Holmgren lui-même y est passé, mais il a su évoluer - contrairement à d'autres, car ce scénario, ne résiste pas à l'épreuve des faits]

Ensuite Meyssan m'a convaincu (principalement) qu'aucun 757 n'avait frappé le Pentagone. Et après avoir fait un peu de recherche sur les témoignages pour compléter cette cause, j'ai commencé à la faire passer et à la défendre.

[NdT :
Thierry Meyssan (www.voltairenet.org) auteur de "l'effroyable imposture", publié en France le 11 mars 2002 aux éditions Carnot, qui avait publié dés le 8 octobre 2001 sur son site des éléments troublants et des photos concernant l'attentat du Pentagone, suggérant qu'aucun Boeing ne s'y était écrasé : "Les mystères de l'attentat contre le Pentagone" (sur reseauvoltaire.net par archive.org - sur voltairenet.org) - historique sur son site www.effroyable-imposture.net, puis, le 10 février 2002, le webzine de Raphaël Meyssan, l'asile utopique (asile.org), a publié une page illustrée reprenant ces informations sous la forme d'un jeu des 7 erreurs habilement présenté.
L'hypothèse initiale de Meyssan (pas d'avion, pas de missile, mais une explosion interne) est brillamment confirmée en 2009 par l'enquête soigneuse et les témoignages recueillis par la Citizen Investigation Team (CIT, www.citizeninvestigationteam.com Craig Ranke et Aldo Marquis) qui a démontré par des témoignages recoupés que l'avion a survolé le Pentagone après une trajectoire finale au nord de la station d'essence CITGO, différente de la trajectoire officielle, au sud de la station, imposée par les pylônes de lampadaires soit-disant renversés par l'avion, provoquant au passage la confusion de Lloyde England du chauffeur du taxi soit disant heurté par l'un de ces pylônes, qui a donc participé à une mise-en-scène. Très bonne analyse en Français sur le site d'Alexis Kropotkine (faitsdivers.blog4ever.com), organisateur de la tournée européenne de Craig Ranke en septembre 2010, qui a parlé à Paris le 11 septembre 2010. Interview de Thierry Meyssan sur les travaux de CIT par Kropotkine.]

Ensuite Rosalee m'a convaincu qu'il n'y avait pas eu d'avion au World Trade Center, et j'ai commencé à faire passer et défendre cette cause.

[NdT :
Rosalee Grable thewebfairy.com/911 est reconnue pour être la première à avoir décelé les trucages dans les vidéos de l'impact du deuxième avion des tours du WTC, le vol UA175, et suggéré qu'il n'y aurait pas eu d'avion.]

Tout au long du chemin, j'ai fait des petites découvertes personnelles qui ont permis de relier entre eux tous ces éléments de preuve.

Enfin, j'ai découvert que les vols AA11 et 77 n'avaient jamais existé et que les listes de passagers du AA11 étaient falsifiées, de toutes façon.

[NdT : en novembre 2003, voir plus haut]

A chaque étape du chemin, le mouvement pour la non-vérité a toujours combattu les avancées - bec et ongles.

Conformément au titre 17 du code des États-Unis, section 107, cet article est fourni pour l'information qu'il contient sans recherche de profit pour des objectifs de recherche ou d'éducation. Ce site Web n'a aucun lien d'aucune sorte avec les sources originales des articles. Nous ne sommes ni commandités ni approuvés par aucune des sources originales.


(28 octobre 2010)

Ce témoignage de Gerard Holmgren montre qu'il a été capable de faire évoluer son opinion en fonction des éléments de preuve qui lui ont été présentés, et qu'il a trouvé lui-même : il a donné la preuve qu'il savait enquêter lui même pour trouver des éléments (deux exemples : le rassemblement puis l'analyse des témoignages au Pentagone et au World Trade Center, et la découverte des informations sur les vols dans la base de U.S. Bureau of Transportation Statistics..., cf. plus haut).

Holmgren est (était) tout le contraire de quelqu'un de buté sur une interprétation, qui va faire le tri entre les éléments matériels pour ne garder que ceux qui sont favorables à sa thèse et rejeter les autres. Holmgren prend TOUS les éléments de preuve, même disparates et contradictoires à première vue, sans idée d'interprétation préétablie. C'est à partir de ceux-ci qu'il construit une thèse qu'il a l'humilité de faire évoluer en fonction des nouvelles preuves qu'on lui présente, ou qu'il trouve lui-même, par son propre travail d'enquête. Ainsi, lui aussi a cru à l'histoire des avions télécommandés avant que de nouveaux éléments ne le mène vers la conviction de l'inexistence des avions. Sa démarche correspond parfaitement, à "un travail d'enquête et d'examen des faits".

PS :

Et s'il faut absolument au lecteur du 21ème siècle, que l'histoire ait déjà figuré dans un film pour qu'il la croie, qu'il pense à Matrix (1999, encore un film pré 11 septembre) :

Tu as vu la femme en rouge, dans la foule ? Est-elle est vraiment réelle ?...

[réf. ‎merovingien.canalblog.com/archives/2005/08/17/730435.html]

Tu as vu l'avion ? La planète entière a VU l'avion, REPRÉSENTÉ sur sa télé, sur son écran, sur son journal, (dans sa radio :)). Est-il vraiment réel ?...

L'allégorie est certes plus subtile que dans "The Lone Gunmen", mais elle est tout aussi valable, dans notre siècle où nous regardons le monde au travers de nos écrans...

Ainsi, comme pour l'histoire officielle (avec Executive Decision - 1996, Independance Day – 1998, ou Pearl Harbour – 2001, cf. annedebalam.free.fr/9-11.html), ou celle des avions téléguidés (The Lone Gunmen, épisode pilote de 2001), l'histoire de l'avion que tout le monde a vu et qui n'existe pas a aussi son film :)


"Une théorie - pas certaine, juste une idée", 2005 ?

(17 octobre 2013)

Cette analyse de Gerard Holmgren, probablement faite au cours de l'année 2005, partant du constat que les gens préfèrent à un moment renoncer à l'exercice de leur intelligence plutôt qu'à leurs paradigmes sociaux, c'est-à-dire à leurs croyances dans le fonctionnement de la société, renvoie à la puissance des mythes publics, établie par Philip Zelikow dans ses travaux universitaires précédent les attentats du 11 septembre, qui a précisément joué là dessus dans la rédaction du rapport de la commission d'enquête sur les attentats du 11 septembre, dont il était le directeur exécutif. Cf. 11 septembre, mythe public, 13 septembre 2011, annedebalam.free.fr/9-11.html#Mythe public.

Une théorie - pas certaine, juste une idée,

par Gerard Holmgren,

(2005 ?)

Original en anglais : A Theory – not certain, just floating the idea ( www.911closeup.com).

Je commence à penser que le 11 septembre était une opération psychologique encore plus audacieuse qu'aucun d'entre nous ne l'imaginait ; que le but ultime n'était pas tant d'amener les gens à croire en la version officielle en tant que telle, mais plutôt de les plonger dans la sénilité intellectuelle à vouloir tenter de comprendre l'événement. Bien sûr, les complices de niveau intermédiaire comme Bush ont désespérément besoin que les gens croient en l'histoire officielle. Il va se battre bec et ongle pour cela, mais il n'est qu'un pion dans la partie. Les personnes qui tirent ses ficelles viennent de le lâcher dans la cage aux lions et ils ne s'intéressent pas vraiment à ce qu'il gagne ou non. C'est le traumatisme de la lutte qui est important.

Je pense que cela fonctionne ainsi. Quand je suis arrivé dans l'activisme du 11 septembre, j'avais une théorie selon laquelle il y aurait environ 10% de la population qui penserait automatiquement que le gouvernement est coupable, même s'ils n'ont pas toutes les preuves et environ 10% qui ne le croiront jamais, quelque soient les preuves. Cela laissait 80% près à se laisser convaincre. Environ la moitié d'entre eux seraient facile à convaincre s'ils obtiennent une bonne preuve. L'autre moitié se situeraient entre difficiles et extrêmement têtus, mais pas désespérés.

J'ai pensé alors que si les 40% de la population facile à convaincre étaient ciblés avec une bonne information, on arriverait à 50%, et à partir de là, la pression de la majorité entamerait l'autre 40%, difficiles mais pas irrécupérables. Je me suis totalement trompé. Cela pouvait ressembler à une analyse sensée dans le monde pré-11-septembre, mais l'événement lui-même a changé le contexte. Il a mis les gens devant des choix difficiles. L'histoire officielle nécessitait que l'on régresse vers la totale sénilité intellectuelle pour pouvoir encore y croire - peut-être a-t-elle été délibérément conçue comme ridicule dans ce but - ou sinon que l'on puisse maintenir en vie son intellect, mais au prix de la destruction presque totale de tout ce en quoi l'on avait cru auparavant sur la façon dont fonctionne la société.

Si la vraie histoire avait été une sorte de mélange entre le LIHOP (Let it happen on purpose, laisser se produire à dessein) et de négligence criminelle comme promu par Ruppert, alors les gens auraient probablement été en mesure de l'intégrer dans leurs modèles sociaux existants. Et donc, elle n'aurait pas eu d'effet destructeur.

Mais le scénario de bande dessinée n'a permis aucun compromis. Détruisez tous vos paradigmes sociaux ou alors détruisez votre intellect en les défendant.

Je m'attendais naïvement à ce que la plupart des gens choisissent de garder leur intellect en vie et à ce qu'ils changent leur paradigme social conformément à ce que les preuves leur dictent. Mais les terroristes (PERP) ont pensé plus loin. Ils étaient tellement confiants dans le fait que la plupart des gens préfèrent jeter à la rivière leur intelligence afin de pouvoir se raccrocher à l'essentiel de leurs convictions politiques, qu'ils ont délibérément fourni une histoire qui nécessite de la folie au vrai sens du mot pour y croire.

C'était un complot visant à conduire l'ensemble de l'humanité dans la folie, et à complètement détruire les normes intellectuelles. Une fois que cette fissure a été ouverte dans l'intelligence collective, une fois que les gens ont ouvertement et effrontément approuvé de la folie intellectuelle complète dans le but de s'accrocher à de vieux paradigmes, la porte est ouverte pour promouvoir la folie totale dans tous les domaines.

Ainsi, l'histoire officielle est un défi pour tout le monde. Ceux qui peuvent admettre le LIHOP, sont alors soumis au défi d'envisager qu'aucun avion a frappé le Pentagone et que les tours ont été démolies. Ceux qui décident d'y croire sont alors soumis au défi des avions télécommandés, des vols inexistant et des listes de passagers truquées. Ceux qui décident d'y croire doivent envisager que tout cela soit juste un snuff movie - pas d'avion, connaissance préalable des frères Naudet. En chemin, les gens abandonnent car cela devient trop pour eux. Ainsi, nous voyons des gens comme Brian Salter qui étaient sur la ligne pour le LIHOP, puis le MIHOP-lite (Make it happen on purpose – en version allégée) et qui tout à coup sont devenu complètement fou, quand on les pousse au delà de cette limite. Pareil pour Hufschmid. D'autres sont tombés plus tôt. Mais quel que soit le stade où ils tombent, il leur faut toujours croire en un dessin animé, et pour cela, ils doivent abandonner la raison.

Une fois qu'on a adopté la folie, le monde peut être inondé avec toute la folie qu'ils veulent, les gens n'ont plus les capacités intellectuelles intactes nécessaires pour y faire face.

Alors le 11 septembre en lui-même est juste une amorce sociale et intellectuelle pour préparer les gens à tout ce qui peut suivre. Des gouvernements coupables peuvent être détruits dans le processus si la folie prend la forme du limited hangout (déballage partiel) d'une religion de la vérité du 11 septembre - aussi longtemps que les gens ont perdu leur capacité de penser.


N'ayez pas peur (Deutéronome 1:29)
Je conteste la validité, et conséquemment les résultats d’une raison cultivée par tout procédé spécial autre que la logique abstraite (Edgar Allan Poe, La lettre volée)
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6 mai 2013, validator W3C, v. 6 du 17 octobre 2013, une théorie  11 novembre 2010, réorganisation ; 5 nov. 2010, hommage de Fetzer, Reynolds ; 28 oct. 2010, l'histoire de couverture du non-chercheur de vérité ; 31 juil. 2010, modif titre "pas d'avion" ; 27 mai 2010, mise en ligne, témoignage de Lyn Ertell - the saigirl.