11 mars 2008-20 sept. 2011, 17 octobre 2013

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Les attentats du 11 septembre

Independence Day 9-11
(1) Independence Day (1996), le film, 0h45'33" (édition spéciale), 0h41'22" (version cinéma), compte à rebours : 00:09:11:01 avant l'attaque...
[13 déc. 2010  :] Mais c'est quoi, ces deux colonnes, occupant la moitié gauche de l'écran du Mac du futur sauveur de l'humanité, en dessous du compte à rebours ? Des tours jumelles ?

Pourquoi ne pas illustrer cette page avec l'image ci-contre (1), extraite du film Independence Day de Roland Emmerich ? Un film de 1996, coproduit par le réalisateur et la 20th Century-Fox, qui est devenu rien de moins que l'un des 15 plus grands succès du cinéma mondial !

Les extra-terrestres attaquent, ils sont très méchants. Seul le héros, David Levinson, un juif, cérébral, intelligent, observateur, écolo et plus matérialiste que religieux (la défense de l'environnement a chez lui remplacé la religion - on l'imaginerait bien s'engager dans la croisade contre le réchauffement climatique), travaillant dans une grande chaîne de télévision à New-York, l'a compris (note a). Il va bientôt sauver le monde. Il a compris que les extra-terrestres, qui ont placé leurs vaisseaux tout autour de la terre, ont, pour se coordonner, piraté notre propre réseau (note b) de satellites de communications, et qu'ils l'utilisent pour transmettre un effroyable compte à rebours... C'est en utilisant nos propres moyens qu'ils vont nous attaquer ! Après avoir réussi à rejoindre Washington et à avertir le président, le héros vient de monter dans l'hélicoptère présidentiel. Il consulte sur son Mac le compte à rebours... 00:09:11:01 : encore 9 minutes, 11 secondes et 01 centième de seconde avant l'attaque qui va détruire la Maison Blanche à Washington et l'Empire State Building à Manhattan.

L'attaque survient, brutale, sans merci pour les courageux soldats, victimes de leur devoir, envoyés au contact et au sacrifice suprême par des autorités incompétentes, naïves et dépassées, tuant de nombreux civils innocents, et les pacifistes imbéciles venu au contact des extraterrestres, qui ont désobéi à l'ordre d'évacuation des villes menacées, donné in extremis (note c). Le président des États-Unis, qui a été sauvé par notre héros, va revêtir sa combinaison de pilote, haranguer ses troupes, et prendre la tête d'une grande coalition internationale, une coalition planétaire où tous les peuples unis derrière la bannière étoilée, vont contre-attaquer victorieusement contre les envahisseurs. C'est ainsi, et grâce au génie et au courage déterminant du héros, que le monde sera sauvé (note d) !

Dans ce film, la télévision joue un rôle de tout premier plan. C'est par elle que les protagonistes, président des États-Unis inclus, apprennent ce qui se passe. C'est elle qui est le vecteur de la communion entre tous les hommes (note e).

Prémonitoire ?

(13 décembre 2010 pour le texte des notes a à e)
Qu'on en juge :

Note a :
David Levinson : un précurseur de Daniel Pipe, le "prophète du 11 septembre" ?)
annedebalam.free.fr/danielpipes.html

Note b :
Notre propre réseau... Comme les pirates du 11 septembre, infiltrés parmi nous, profitant de notre bienveillance et de notre société de liberté, qui détournent nos propres avions pour les transformer en missiles dévastateurs...

Note c :
1) "Attaque" est le mot exact prononcé dans les minutes de la diffusion télévisée de la dernière seconde de l'approche du deuxième avion sur la tour ;
2) Ces courageux héros victimes de leur devoir : des précurseurs des pompiers de New-York ?
Détail : annedebalam.free.fr/fdny.html

Note d :
1) La scène finale, on nous l'avait déjà jouée pour la guerre du Golfe de 1990-1991 : la grande coalition mondiale des démocratie unies contre l'hydre Saddam Hussein pour libérer le Koweit, qui a été lancée par le discours télévisé et radiodiffusé en direct, devant congrès réuni en session commune, le 11 septembre 1990 à 9h09 pm (en anglais sur le site de la George Bush Presidential Library, en français sur le site du Monde diplomatique) prononcé par George Bush père, le discours dit "du nouvel ordre mondial" :

Un nouveau partenariat des nations a vu le jour.
Nous nous trouvons aujourd’hui à un moment exceptionnel et extraordinaire. La crise dans le golfe Persique, malgré sa gravité, offre une occasion rare pour s’orienter vers une période historique de coopération. De cette période difficile, notre cinquième objectif, un nouvel ordre mondial, peut voir le jour : une nouvelle ère, moins menacée par la terreur, plus forte dans la recherche de la justice et plus sûre dans la quête de la paix. Une ère où tous les pays du monde, qu’ils soient à l’Est ou à l’Ouest, au Nord ou au Sud, peuvent prospérer et vivre en harmonie. Une centaine de générations ont cherché cette voie insaisissable qui mène à la paix, tandis qu’un millier de guerres ont fait rage à travers l’histoire de l’homme. Aujourd’hui, ce nouveau monde cherche à naître. Un monde tout à fait différent de celui que nous avons connu. Un monde où la primauté du droit remplace la loi de la jungle. Un monde où les états reconnaissent la responsabilité commune de garantir la liberté et la justice. Un monde où les forts respectent les droits des plus faibles.

Cent générations : l'histoire de l'humanité depuis Moïse et l'invention du monothéisme sera bientôt enfin mise entre parenthèse, à l'avènement annoncé de ce "nouveau monde [qui] cherche à naître. Un monde tout à fait différent de celui que nous avons connu"...

Une fois de plus, des Américains se sont engagés, ils ont fait leurs adieux émus à la famille, avant de s’embarquer vers une rive distante et inconnue. En ce moment-même, aux côtés d’Arabes, d’Européens, d’Asiatiques et d’Africains, ils défendent le principe et le rêve d’un nouvel ordre mondial. C’est pour cela qu’ils suent et qu’ils peinent dans le sable, sous la chaleur écrasante du soleil.

Beau comme l'antique, ou comme Isaïe ("Le loup habitera avec l'agneau, et le léopard se couchera auprès du chevreau..." Is 11,6) : c'est probablement pour cela que les députés ont tellement applaudi ce soir là (cryan.com/war/speech/, trancription du discours avec les applaudissements)...

Bush Ground zero
George Bush à "Ground Zero" le 14 septembre 2001, avec les pompiers, les policiers et les sauveteurs (source White House photo d'Eric Draper)

2) On nous l'a rejouée trois jours après le 11 septembre : 14 septembre : le président, en blouson, sur les ruines des tours jumelles, porte-voix à la main, entouré de pompiers et de policiers de New-York, les héros éprouvés, crie vengence...
Détail : annedebalam.free.fr/fdny.html#Bush

Président Bush à la foule : Je vous entends. Je vous entends, et le reste du monde vous entend, et ceux... et ceux qui ont démoli ces immeubles nous entendront très bientôt.
La foule scande : U.S.A.! U.S.A.! U.S.A.! U.S.A.! U.S.A.! U.S.A.!

3) Puis, dans un discours télévisé et radiodiffusé devant une session commune du congrès, le 21 septembre 2001 (americanrhetoric.com/speeches/gwbush911jointsessionspeech.htm ou
georgewbush-whitehouse.archives.gov/news/releases/2001/09/20010920-8.html), comme son père le 11 septembre 1990, le président déclare la guerre éternelle...

"Notre guerre à la terreur commence avec Al Qaïda, mais elle ne s'arrête pas là. Elle ne s'arrêtera pas avant que tous les groupes terroristes partout sur la planète ne soient trouvés, arrêtés et vaincus." ("Our war on terror begins with al Qaeda, but it does not end there. It will not end until every terrorist group of global reach has been found, stopped, and defeated.")

Considérant l'échec de l'Angleterre à éradiquer le terrorisme de l'IRA de son propre territoire, comme celui de l'Espagne pour le terrorisme de l'ETA, également sur son propre territoire, qui sont le fait de deux mouvements nettement plus limités que l'ensemble du terrorisme sur l'ensemble de la surface de la terre, cette guerre déclarée pour durer jusqu'à l'éradication de tous les groupes terroristes de l'ensemble de la planète ne peut bien sûr qu'être une guerre sans fin, comme la "guerre à la drogue" et autres "guerres" précédemment déclarées par les États-Unis. Belle espérance pour ce pays que cette perspective de guerre sans fin, dans laquelle, par la voix de son président, il veut entrainer toutes les nations de la planète !

Cette guerre est déclarée au monde entier. Les nations doivent ou bien se soumettre ou bien être combattues :

"Chaque nation, dans toutes les régions, a maintenant une décision à prendre. Ou bien vous êtes avec nous, ou bien vous êtes avec les terroristes." ("Every nation, in every region, now has a decision to make. Either you are with us, or you are with the terrorists.")

Bien sûr, cette citation qui précède renvoie à la citation de Jésus dans les Évangiles : "Qui n'est pas avec moi est contre moi" (Matthieu 12,30, et Luc 11,23). Les États-Unis par la voix de Bush parlent comme Jésus dans les Évangiles. Cependant, Jésus, juste avant de faire cette déclaration, avait donné le conseil suivant à ses disciples : Jean prit la parole et dit: "Maître, nous avons vu quelqu'un expulser des démons en ton nom, et nous voulions l'empêcher, parce qu'il ne suit pas avec nous." Mais Jésus lui dit: "Ne l'en empêchez pas; car qui n'est pas contre vous est pour vous." (Luc 9,49-50). Le chrétien affiché Bush se met avec la nation qu'il préside dans le rôle de Jésus et refuse le rôle assigné par Jésus à ses disciples. Bush dévoile ainsi qu'il n'est, en réalité, pas un disciple de Jésus, pas une chrétien contrairement à ce qu'il prétend par ailleurs. Comme il s'attribue avec sa nation les parole que Jésus s'attribue à lui-même, on peut raisonnablement envisager qu'il est visé par ces autre parole, postérieure, de Jésus : "Prenez garde qu'on ne vous abuse. Car il en viendra beaucoup sous mon nom, qui diront : C'est moi le Christ, et ils abuseront bien des gens." (Matthieu 24,4-5), parole qui annonce et met en garde contre les antéchrists ce cette espèce. Parler aux nations comme, Jésus, le Christ, a parlé, c'est en effet "venir sous son nom" !

Une guerre de la liberté contre la peur, dans laquelle l'Amérique, étendard de la liberté, porte l'espoir de l'humanité toute entière :

"On nous a fait un grand mal. Nous avons subi de grandes pertes. Et dans notre peine et notre colère, nous avons trouvé notre mission et notre moment. La liberté et la peur sont en guerre. Le progrès de la liberté humaine - la grande réussite de notre temps, et le grand espoir de tous les temps - dépend maintenant de nous. Notre nation, cette génération enlèvera la menace noire de la violence qui pèse sur notre peuple et notre avenir. Nous rallierons le monde à cette cause par nos efforts, par notre courage. Nous ne nous lasserons pas, nous ne faiblirons pas, et nous n'échouerons pas." ("Great harm has been done to us. We have suffered great loss. And in our grief and anger we have found our mission and our moment. Freedom and fear are at war.  The advance of human freedom -- the great achievement of our time, and the great hope of every time -- now depends on us. Our nation, this generation will lift a dark threat of violence from our people and our future. We will rally the world to this cause by our efforts, by our courage. We will not tire, we will not falter, and we will not fail.")

Encore un blasphème : la liberté humaine représente le grand espoir de tous les temps et son progrès dépend des États-Unis !

Les images choc du 11 septembre gravées dans nos mémoires serviront à soutenir notre détermination à mener ce combat éternel qui s'annonce :

"C'est mon espoir que dans les mois et les années qui viennent, la vie reviendra presque à la normale. Nous reprendrons le cours de nos vies et de nos routines, et c'est bien. Même la douleur s'estompe avec le temps et la grâce. Mais notre détermination ne doit pas d'éteindre. Chacun d'entre nous se souviendra de ce qui s'est passé ce jour-là, et à qui cela est arrivé. Nous nous rappellerons le moment où nous avons appris la nouvelle - où nous étions et ce que nous faisions. Certains de souviendrons d'une image de feu, ou d'une histoire de sauvetage. Certains garderons la mémoire d'un visage et d'une voix partie pour toujours." ( "It is my hope that in the months and years ahead, life will return almost to normal. We'll go back to our lives and routines, and that is good.  Even grief recedes with time and grace. But our resolve must not pass. Each of us will remember what happened that day, and to whom it happened. We'll remember the moment the news came -- where we were and what we were doing. Some will remember an image of a fire, or a story of rescue. Some will carry memories of a face and a voice gone forever." )
Bush avec l'écusson
de George Howard
(3) 20 janvier 2001, le président Bush présente à la tribune du Congrès l'écusson du policer de George Howard, mort dans les attentats du 11 septembre dans l'exercice de son devoir (source : homewithgod.com/mkcathy/ggh.html, mémorial à George Howard).
Gott mit uns
(2) "Gott mit uns", boucle de ceinturon, armée allemande, deuxième guerre mondiale.

Vengence ! Dieu est avec nous ! "Gott mit uns" (2) :

"Et je porterai ceci sur moi (3) : c'est l'écusson de police d'un homme qui s'appelle George Howad, qui est mort au World Trade Center en essayant de sauver les autres. Il m'a été donné par sa maman, Arlene, comme mémorial de fierté de son fils. C'est ce qui me rappellera les vies abrégées, et une tâche qui n'aura pas de fin. Je n'oublierai pas cette blessure faite à notre pays ni ceux qui l'ont infligée. Je ne faiblirai pas, je ne me reposerai pas, je ne céderai pas dans le combat pour la liberté et la sécurité du peuple Américain. Le cours de ce conflit n'est pas connu, mais son issue est certaine. La liberté et la peur, la justice et la cruauté se sont toujours fait la guerre, et nous savons que, dans cette lutte, Dieu n’est pas neutre." ("And I will carry this: It is the police shield of a man named George Howard, who died at the World Trade Center trying to save others. It was given to me by his mom, Arlene, as a proud memorial to her son. This is my reminder of lives that ended, and a task that does not end. I will not forget this wound to our country or those who inflicted it. I will not yield; I will not rest; I will not relent in waging this struggle for freedom and security for the American people. The course of this conflict is not known, yet its outcome is certain. Freedom and fear, justice and cruelty, have always been at war, and we know that God is not neutral between them.")

Troisième blasphème : Dieu n'est pas neutre (il est avec nous) !

George W. Bush walks with Ryan Phillips to Navy One
(4) Le président George W. Bush sur le tarmac de la base de l'aéronavale de North Island à San Diego, le jeudi 1er mai 2003, se dirigeant en compagnie du Lt. Ryan Phillips vers Navy One, un Viking S-3B, pour s'envoler vers l'USS Abraham Lincoln, afin d'y prononcer un discours à la nation et d'y passer la nuit. Photo de la Maison Blanche de Susan Sterner.
Source : archive de la Maison Blanche, présidence de George W. Bush

3) Puis le 1er mai 2003 (4), après l'assaut de la coalition contre l'Irak, le président des États-Unis, débarqué d'un avion de chasse en combinaison de vol sur le pont de l'USS Abraham Lincoln prononce un discours devant les troupes sous une bannière portant l'inscription "Mission Accomplished".

Note e :
La télévision est le vecteur du 11 septembre et de ses horreurs.

Independence Day est emblématique (lire par exemple l'article d'Elliot Gaines, de Wright State University, dans The American Journal of semiotics, 17:3 (Fall 2001) Pages 117-131 publié en août 2002, The Semiotics of Media Images From Independence Day & September 11th 2001), mais ce n'est n'est qu'un exemple parmi les nombreux films d'Hollywood précédant le 11 septembre ayant le même type de scénario, et même avec une référence au nombre 911 !

Matrix Passeport de Thomas A. Anderson alias Neo
(5) Matrix, 0h18'10", l'agent Smith (Hugo Weaving) interroge Néo (Keanu Reeves) dans un bureau, il lit dans son dossier une copie de son passeport au nom de de Thomas A. Anderson, date de naissance : 13 SEP 71 ; date de délivrance : 12 SEP 91 ; date d'expiration : 11 SEP 01.

Pour une liste (incomplète) de référence Hollywoodiennes pré 9/11 : www.conspiracyarchive.com/NWO/Hollywood_911.htm (John Valentini, 25 avril 2005). John Valentini tient à jour une page plus complète sur ce sujet à www.imagining911.blogspot.com (nota du 13 déc. 2010, blog disparu), les images, (de près de 40 œuvres antérieures au 11 septembre, produites aux États-Unis, principalement des films, référant au 9/11, ou aux tours jumelles détruites, ou même aux deux en même temps), sont un peu meilleures à vyzygoth.com/photo.html [note du 5 mai 2013, site disparu]. Ces deux dernières pages ont bien sûr ajoutées la référence au film-culte (notre monde est-il un monde réel ? Est-il un monde virtuel ? Une question que nous pose le 11 septembre...) Matrix (1999, produit par Warner Bros. Pictures, écrit et réalisé par Andy et Larry Warchowski) dans lequel on a remarqué depuis (en retournant une image (5)) la date du 11 septembre 2001...

Une incidente sur la référence au nombre 911 en prémices à la catastrophe dans tous ces films Hollywoodiens. Peut-on le lire symboliquement sans avoir à en référer à une incroyable vision prémonitoire du 11 septembre ? 911 comme symbole évident de catastrophes, il y en a au moins deux lectures.
1) 911 est le numéro d'appel d'urgence aux États-Unis et au Canada depuis 1968 !
2) 911 a une signification évidente dans la culture juive. Ce nombre est celui de Tisha B'av (hébreu : תשעה באב - en juillet ou en août, selon les années), jour de deuil et de jeûne complet en mémoire des malheurs de l'histoire du peuple juif, à commencer par les destruction des premier et deuxième temples, le 9 (Tisha) Av, le neuvième jour du onzième mois (Av, hébreu : אב) du calendrier hébreu.
(Note du 13 déc. 2010 : Le calendrier juif est un calendrier lunaire compensé, 12 mois lunaire avec un 13ème mois tous les 3 ans pour rattraper l'année solaire. L'année commence à Rosh Hashana (hébreu : ראש השנה, "tête de l'année"), premier jour du mois de Tishri, qui tombe en septembre ou au tout début d'octobre selon les années. Rosh Hashana est la fête juive du nouvel an.)

(6) Armageddon (1998) (extrait de 0'38"), ‘Saddam Hussein is bombing us!’ et encore un compte à rebours 9:11 ! (source YouTube, compte de winexprt, était début 2008 sur le compte de MrJoshua999)
Le même en version flash à télécharger :
Armageddon-1998-9-11.flv

(6) Armageddon (1998), réalisé par Michael Bay (écrit par Robert Roy Pool et Jonathan Hensleigh, adapté par Tony Gilroy et Shane Salerno, scénarisé par Jonathan Hensleigh et J. J. Abrams, distributé par Touchstone Pictures) : la météorite géante dont des précurseurs bombardent New-York. 0h9'42" : commentaire du chauffeur de taxi Stu the Cabbie (Mark Curry) devant le bombardement de New York par des météorites, avec l'une d'elles qui frappe l'une des tours jumelles, "Saddam Hussein in bombing us." 0h59'09" : compte à rebours avant d'envoyer les sauveurs de l'humanité planter une bombe nucléaire au coeur de l'astéroïde géante menaçant la planète : 08:09:11.

(7) Executive Decision (1996) (extrait de 0'40"), Il y un Français parmi les méchants... (source YouTube, compte de winexprt)
Le même en version flash à télécharger :
Executive-decision-1996-9-11.flv

(7) Executive Decision (1996) : détournement d'avion en vol vers les États-Unis par un terroriste arabe et pilote, avec une puissante bombe non conventionnelle à bord, afin d'être utilisé comme arme de destruction massive dans un attentat suicide.

(8) Ci-après une analyse pointue de ces nombreux films catastrophe d'Hollywood ayant précédé le 11 septembre, qui ont inscrit dans nos crânes la possibilité du 11 septembre et la logique de la réaction qui a suivi. Les attentats sont sans merci. Un point récurant est que ceux qui négocient ne méritent que la mort et le mépris. En réaction à l'attaque, seule la violence prime.

(8) ‘Saddam Hussein is bombing us!’ How Hollywood portrayed terrorism before 9/11, By Erik Lundegaard, Sept. 6, 2005, pour msnbc (d'ailleurs illustré par une image du film Independence Day)

What are the lessons of the pre-9/11 terrorist movies? Here’s a few. If you capture the head of a terrorist organization it only leads to more terrorism (“Executive Decision,” “Air Force One,” and “The Siege”). When all else fails, resort to Morse code (“Independence Day” and “Executive Decision”). Also, anyone who tries to negotiate with terrorists is a sap and dies quickly. In “Executive Decision” it’s Sen. Mavros (J.T. Walsh). In “Air Force One,” it’s National Security Advisor Jack Doherty (Tom Everett). Both get shot in the forehead. Never negotiating with terrorists is obviously good policy but Hollywood stacks the deck by portraying negotiators as not only weak-willed but politically-motivated — and thus, in the filmmakers’ eyes, worthy of getting shot in the forehead.

Watching these movies, in fact, one wonders all over again about right-wing attacks on Hollywood. These movies encourage patriotism, faith in our leaders and an-eye-for-an-eye. They encourage a simple absolutist view of the world. There are good guys and bad guys and never the twain shall meet. The hero is always right, and the people who disagree with the hero are always wrong, and if the hero needs to — and he usually does — he can go it alone. Sometimes the hero is the President of the United States. Sometimes he wears a flight suit. Sometimes he says tough things like “Get off my plane!” I know: It’s all so anti-Republican.

The one film besides “The Siege” that presented a more nuanced approach to terrorism was, ironically, Arnold Schwarzenegger’s “Collateral Damage.” In it, Schwarzenegger plays a Los Angeles firefighter who loses his wife and child to terrorists and travels to Colombia to get revenge. For a moment the film raises the possibility that in destroying our enemies we become like our enemies — and then the terrorist forces a live snake down the throat of a subordinate and that idea is forgotten. Although, oddly, not by Schwarzenegger. A few months ago, presidential advisor Karl Rove made headlines by implying that Republicans saw the savagery of 9/11 and wanted to fight the enemy while Democrats wanted to understand the enemy. But here’s the future Republican Governor of California in a special feature on the “Collateral Damage” DVD called “The Hero in a New Era”:

“Collateral Damage” was written in such an exciting way, and gave us a little insight into how it happens. Why do terrorists attack our country? What are the things that our country does to make those people do those things?

How infantile our national dialogue has become when even Arnold Schwarzenegger is too complex for it.[...]

But you don’t need to see tall buildings crashing to the ground to be reminded of 9/11 and its aftermath. “The Ox-Bow Incident” was made and released during World War II. It concerns a western town’s reaction when a local rancher is murdered and his cattle rustled. One townsperson says, “Down in Texas where I come from, we just go out and get a man and string him up.” Which is what they do. They capture three men — innocent, it turns out — one of whom (Dana Andrews) says the following before being hanged:

Justice? What do you care about justice? You don't even care whether you've got the right men or not. All you know is you've lost something and somebody's got to be punished.

Four years ago this month we lost something.

( (lecteur local: touche [F]: mode plein écran))
(9) The 9/11 Solution (9'40")
(source brasschecktv.com)
Après l'étrange témoin dans la rue (présenté comme étant Marc Walsh, reporter freelance pour Fox, interrogé sur Church St, à 11h55, moins d'une heure et demi après le deuxième effondrement, par Rick Leventhal - réf. FOX News - Rick Leventhal interviews 9/11 WTC witness, Mark "Harley Guy" Walsh, interview complet, sur Youtube, mis en ligne par Gideon52480) qui a compris ce que découvrira le NIST avec ses 10 000 pages de rapport sur l'effondrement des tours, le premier des deux experts interrogé à la télé (par Dan Rather sur CBS) pour interpréter les attentats, qui a la même expertise en structure d'immeuble et crash d'avion que le premier témoin, sait désigner les pompier comme les héros sacrifiés, et explique que cet attentat porte la signature ("fingerprints") d'Oussama Ben Laden, est Jerome Hauer, celui-là même qui a présidé à la construction des locaux de l'Office of Emergency Management" de la ville de New-York (voit plus-bas : Psy-Ops), une coincidence...
Le film en version flash à télécharger : 9-11_Solution.flv
Hezarkhani <i>butter plane</i>

Avertissement : les images présentant l'avion pénétrant dans la tour (sans bandeau de chaîne de télé) sont extraites de la vidéo notoirement truquée de Michael Hezarkhani : lire plus bas le paragraphe qui lui est consacré. Ce plan direct du crash de l'avion n'est apparu que le 12 septembre. Il n'a donc pas illustré à la télé les propos du témoin parlant d'avion frappant les tours, diffusés dans les heures qui ont suivi les attentats.

Sous l'effet de ce bourrage de crâne Hollywoodien, nos esprits ont été préparés, infantilisés, avant le 11 septembre, à accepter le scénario "clé-en-main" qui nous a été proposé. Les analyses et les avertissements "ignorés" des néoconservateurs à la Daniel Pipes, qui nous ont été immédiatement rappelés, ont apporté la justification intellectuelle à cette histoire de kamikazes fanatiques dirigés par Oussama Ben Laden depuis ses grottes en Afghanistan (réaffirmée sans la moindre nuance par la commission d'enquête parlementaire de 2004) qui nous a été immédiatement servie par les chaînes de télévision et les médias (voir le montage de témoignages et d'avis d'expert diffusés immédiatement par les télés, 911 Solution, ci-contre (9), alors même que le FBI, administration publique plus honnête que la commission politique, se garde bien d'accuser Ben Laden de ce crime).

11 septembre 2001 : en direct à la télévision

Ci-après, deux exemples sont développés (une émission de Fox News et et ABC), puis toutes les images qui ont été diffusées en direct sont détaillées.

Fox News, (avec reprise du plan "international" de ABC)

(10) 9/11 résolu en 42 secondes, montage de Genghis6199, impact du vol UA-175 sur le WTC en direct sur Fox News Channel, qui retransmettait des images de WABC (précision du 18 nov 2010 : ce plan ABC de l'avion se crashant sur la tour, est le seul et unique diffusé en direct et répété sur toutes les chaînes de télévision de la planète dans les minutes, et même les premières deux heures qui ont suivi les attentats, elles ont été ainsi passées en boucle sur TF1 (partie 1 (8'07"), partie 2 (8'30"), partie 3 (7'56")) le 11 septembre, et France 2 et France 3 (voir plus bas (20), (21) et (22)). Elles ont un angle de vue dans lequel la tour n° 2 (la tour Sud), et donc l'impact, sont entièrement masqués par la tour n° 1 (la tour Nord), au premier plan) : le commentateur révèle au bout de 42 secondes que c'est Ben Laden qui a fait le coup... (source YouTube, compte de leia176oo, était début 2008 sur le compte de MrJoshua999)
Le même en version flash à télécharger : 9-11solvedin42sec-genghis6199.flv

(10) Ci-après, transcription des commentaires de la vidéo ci-dessous entendus en direct sur la chaîne Fox News Channel, qui retransmettait des images de WABC.

Cette diffusion en direct à la télévision au moment de l'arrivée du "deuxième avion sur la deuxième tour" est significative à deux titres. Oussama Ben Laden est désigné comme responsable au bout de 42 secondes. Un témoin annoncé dans le studio 46 secondes après cette arrivée, prétend avoir vu l'avion depuis la 5ème Avenue, un avion commercial (perhaps a 737 or a small Airbus). Cet avion dont il parle ne peut être que le premier avion car il n'a pas pu monter si vite dans le studio (le studio de la Fox est situé dans le Rockefeller Center, à presque 6 km au Nord des tours du World Trade Center, entre la 47ème et la 48ème rue, sur la 6ème avenue - 1211 Avenue of the Americas, 260 mètres à l'ouest de la 5ème), et surtout car l'avion évoqué vient du Nord, comme le premier avion, alors que le deuxième avion venait du Sud (page 32, soit 49/585, du rapport de la commission d'enquête parlementaire, publié le 22 juillet 2004). Mis à part l'altitude très basse, ce premier avion pouvait d'après lui être perçu comme un avion en approche de l'aéroport La Guardia, alors que sa vitesse officiellement retenue, d'après le rapport du NIST (National Institute of Standards and Technology - page 162, soit 276/462, du rapport NISTNCSTAR1-2.pdf) le premier avion volait à 713 km/h (±48), beaucoup plus vite que la vitesse d'approche d'un avion de ligne (450 km/h au grand maximum), et le deuxième avion, à 872 km/h (±39). Ces vitesses de 700 à 900 km/h sont-elles accessibles aussi près du sol à ces avions de lignes ? Les avion sont des Boeing 767-200-ER équipé de deux moteurs Pratt & Whitney PW4062, aussi bien pour le vol AA11, premier avion, que pour le vol UA175, deuxième avion, d'après le National Transportation Safety Board (NTSB) et l'histoire officielle.

[note du 13 décembre 2010 :]
En effet, ces vitesses "posent un grave problème" : cf. Un directeur de vol de la NASA confirme que la vitesse des avions utilisés le 11/9 pose un grave problème dont personne ne parle, par Robert Balsamo, paru sur le site des pilotes pour la vérité (article original : NASA Flight Director Confirms 9/11 Aircraft Speed As The "Elephant In The Room", du 22 juin 2010, traduit par GV pour ReOpenNews. L'association pilotsfor911truth.org est même formelle. Elle affirme en conclusion de son étude sur les vitesses des avions impliqués dans les attentats des tours jumelles, appuyée notamment sur l'étude de l'accident du vol EA990 d'Egypt Air, un Boeing 767, comme ceux des attentats des tours jumelles, qui, en octobre 1999, s'est désintégré en vol à cause de la vitesse excessive qu'il a atteint en piqué, que la vitesse alléguée pour le vol UA175 est tout simplement impossible (http://pilotsfor911truth.org/wtc_speed). Ils ont pris comme référence pour la vitesse de l'avion l'étude officielle du NTSB faite d'après les informations radar, par Daniel Bower, datée du 7 février 2002, qui estime la vitesse finale du vol AA11 à 430 nœuds, et celle du vol UA175 à 510 nœuds, soient 800 et 945 km/h. Pilotsfor911truth estime que la vitesse qui a entrainé la disloquation du Boeing 767 du vol EA990, Mach 0,99 à 22 000 pieds (6 700 mètres), correspond à une vitesse de 425 nœuds (787 km/h) à proximité du niveau de la mer, altitude des vols AA11 et UA175 approchant des tours. Les vols AA11 et UA175 auraient été incapable de dépasser cette vitesse, encore moins en réalisant la manœuvre d'une précision telle qu'ils puissent pénétrer entièrement dans les tours.

Dans la minute suivant ce qu'a vu le téléspectateur live on television, dans son état d'extrême émotion, ce témoignage ancre dans son esprit l'idée des "deux avions crashés dans deux tours", le symbole, entre tous les symboles, des attentats du 11 septembre. Un mythe ?

[0'00" présentateur: évoquant une histoire qu'on lui souffle dans l'oreillette ("I'm reminded of...")]

I'm reminded of a couple of things that happened recently, Dr Gross. Not long ago a, just a couple of w... within the last couple of weeks, in fact, there was a
[0'10" - apparition de l'avion dans la droite de l'image]
pilot who flew...
[0'12" explosion, sur le côté gauche de la tour]
there was another one, we just saw, we just saw another one, we just saw another one apparently go... Another plane just flew... into the second tower. This raises...sss... This has to be deliberate, folks.
[0'33" telephone : Allright I begin to say that, yeah...]
We just saw on live television as a second plane flew into the second tower of the World Trade Center. Now, given what has been going on around the world... ahh... some of the... some of the key suspects come to mind...
[0'53", soit 41" après l'explosion]
Osama bin Laden; who knows, who knows what.
[0'58", soit 46" après l'explosion]
Eric Shawn is with us.
Eric I know that you have a lot of sources at the FBI and other agencies like that. What can you tell us?
[1'04", soit 52" après l'explosion]
First of all I apologize for being out of breath, 'cause I was walking down Fifth Avenue, ahh, which is close to our studio, actually is close to our studio, and I heard ahh, a jet perhaps a 737 or a small Airbus, ahh, flying low unusually low over 5th Avenue making a ride. I'm not going to say... I don't know... I don't have any report about what type of plane hit the World Trade Center but people looked up and it it did arrive toward the, toward the building. John, we just saw though obviously that indeed that was a second aircraft that hit the ahh the ahh southern tower of the World Trade Center, and obviously, raises the specter of ahh of an intentional terrorist attack, ahh... here, that is indeed what we are looking at... ahh, I don't know what the reports say what type of plane hit, hit the... ahh, the tower but I did see... ahh, a jet airliner that was very low. It was unusual that... not an unusual traffic pattern because airplanes that fly to La Guardia often vector down south straight over Manhattan. But of course at... ahh, at an altitude that is far above the buildings. Clearly, and that the avenue, that when you look up the avenue, you see planes specially the ones from the North... ahh, coming down before they vector on a left turn to go up into... ahh, 13 or 31 or 4-22, into the runways up at la Guardia. But clearly, this is tremendously disturbing, if indeed that explosion, that we just saw on television, is indeed another airplane, just raises the possibility that this is an intentional attack ahh a terrorist attack as we know that the World Trade Center was bombed and the, back in the early 90's...
(12) Le direct de ABC le 11 septembre à 9h03, au moment du crash du vol UA 175 sur la tour Sud, extrait de 30". Lien : www.youtube.com/watch?v=FphTec8I0Xg
Vidéo mise en ligne par 11septembervideos
Vidéo complète des directs des chaînes de télévision ABC, BBC, CBS, CNN, FOX et NBC, pendant toute la journée du 11 septembre, accessible à partir de www.archive.org/details/sept_11_tv_archive

ABC : le plan "international"

Direct ABC
(11)Direct ABC, gif de Killtown

[13 décembre 2010]
L'unique plan à représenter le crash du vol UA175 à avoir été diffusé en direct qui ait été diffusé internationalement est le plan qui a été diffusé sur la chaîne ABC (cf. gif (11), vidéo (12), et images fixes (13)). Il a en particulier été repris par CNN. Il est de très mauvaise qualité, l'avion est réduit à une silhouette noire 2D, sa trajectoire finale n'est visible que pendant une seconde. Pendant les deux heures qui ont suivi le direct c'est pourtant cet unique plan, tellement pauvre, qui a été diffusé par les télévisions françaises pour faire foi de l'avion. Comme tous les "directs" de l'avion il avait été diffusé avec 17 secondes de retard sur l'explosion de la tour (lire plus bas).

Par exemple, le matin du 11 septembre, l'écran géant de Time Square, à 5 km au nord des tours, diffusait... Précisément les images de la chaine ABC ! Tous les New-Yorkais qui, sur Times Square, tétanisés par les images hypnotiques des tours vue du nord, avec le trou en forme d'avion dans la tour Nord, on "vu" le "deuxième avion"... Sur l'écran... (Cf. la vidéo de 3'02 "i saw it with my own eyes" filmée sur Time Square, au moment du deuxième "crash", postée par genghis6l99 sur son compte youtube.

Il est important de réaliser que, sur la chaîne de télévision qui en porte la paternité, c'est uniquement l'image télévisée et non le journaliste sur place qui établi l'existence de l'avion. Le journaliste sur place, Don Dahler, n'a aucune conscience de l'avion, mais seulement de l'explosion. Il faut lui passer et repasser l'image vidéo pour qu'il concède qu'il y ait pu y avoir un avion. Voici le dialogue tel qu'il a été diffusé en direct à l'antenne :
(sources :
www.archive.org/details/sept_11_tv_archive où se trouvent les copies de ce qui a été diffusé en direct pendant toute la journés du 11 septembre par les grandes chaînes nationales des États-Unis (ABC, BBC, CBS, CNN, FOX et NBC). emperors-clothes.com/9-11backups/abc911.htm pour la transcription très correctement faite.)

UA175-1
UA175-0.1
UA175-0.2
UA175-2
UA175-3
UA175-4
UA175-5
UA175-6
UA175-7
UA175-8
(13)Première image de la silhouette d'avion dans le direct de ABC (seul et unique image montrant l'avion qui a été diffusée en boucle par les télévisions du monde entier pendant plus de deux heures), sa silhouette en milieu de parcours à l'écran, puis les 8 dernières images successives (extraites de la vidéo (14) ci-après) montrant cette silhouette disparaissant derrière la tour nord du World Trade Center, avant l'explosion de la tour Sud.
Durée  entre l'apparition de la silhouette d'avion et sa disparition derrière la tour : 1 seconde.
CHARLES GIBSON, co-anchor: Don Dahler--ABC's Don Dahler, who is on the scene--Don, just give me some description again of what you're--what you can see now.
DON DAHLER: Well, we see--it appears that the... there is more and more fire and smoke enveloping the very top of the building, and as fire crews are descending on this area, it--it does not [l'avion apparait, silhouette noire sur la droite] appear that there's any kind of a... an effort up there yet, now remember--Oh, my God!

Studio background: Oh God!

DIANE SAWYER, co-anchor: Oh, my God! Oh, my God!

GIBSON: That looks like a second plane...

SAWYER: Terrible!

GIBSON: … has just hit...

DAHLER: I didn't see a plane go in. That--that just exploded. I...

GIBSON [coupant la parole]: We just saw another plane coming in from the side.

DAHLER: You did? I was--that was obscured from my view.

GIBSON: That second explosion, you could see the plane come in just from the right-hand side of the screen, so this looks like it is some sort of a...

SAWYER: Oh, my!

GIBSON: ...concerted effort to attack the World Trade Center that is under way in downtown New York.

[cut] continues:

SAWYER: We will see that scene again just to make sure we saw what we thought we saw.

[C'est l'image télé qui fait foi : qui départage les indécis !]

GIBSON: We're going to give you a replay of what we just saw, and I--I must admit, I thought it was some sort of fire equipment or some sort of observation plane, but it was obviously designed to attack the World Trade Center. We're going to show you that--here's a replay of the videotape.

(Replay of videotape shown)

GIBSON: In a second, that looks like a good-sized plane, came in and hit the World Trade Center from the other side. So this is obviously, or would seem to be, and again I'm dealing in speculation, but it would seem like there is a concerted attack against one of the towers of the World Trade Center under way.

SAWYER: We had seen a plane coming in from the other direction earlier. I had noticed it. Had you, Charlie? I didn't know if that plane had been circled wide and came back from another direction, but we all watched it, and I just assumed...

Un avion volant en sens opposé a été vu passer près des tours juste avant l'explosion dans la deuxième tour.

GIBSON: Don, could you hear that? Could you hear that plane as it came in?

DAHLER: I did not hear that plane, but I had to step inside the window because the fire crews were so loud--the sirens--that I couldn't hear you.

GIBSON: I got you.

DAHLER: I did see the explosion, but the side of the building that the plane entered was just outside of my view, so all I saw was this huge fireball and the explosion.

GIBSON: Well, the shot that we've got is now just from one side of the World Trade Center, but this is the shot again--this is moments ago of this--of this second plane coming in, and this is now in slow motion.

(Replay of videotape shown)

GIBSON: Ah, this is terrifying--awful.

SAWYER: We watch powerless. It's a horror.

GIBSON: All right, we're going to go back to live coverage now. You're looking at live pictures, and there is the second fire, which was brought about by this second plane that hit the tower, and Don, from everything I can see, it was the same tower that was hit the first time, right?

DAHLER: No, it's the second tower. It is the...

GIBSON: It's the other tower.

DAHLER: It is the other tower that was hit.

GIBSON: My mistake.

Don Dahler, le reporter sur place, a toujours du mal à se faire à l'idée de l'avion qui ne correspond absolument pas à sa perception. C'est l'image de la télévision qu'on lui passe et repasse, comme aux téléspectateurs, qui lui force cette idée dans la tête :

DAHLER: They targeted--from your--from what I'm seeing on television, from your view, they are--the two towers are in--one is in front of the other one, but it was definitely the second tower that was hit about halfway down, not quite as high, and from my view here, it does not seem to be as--as big, as much damage as the original. It--I don't know if that means it was not as big a plane or what. I did not see the plane go in, but it's--I mean, it's horrendous damage, but it doesn't seem to be the gaping hole through two sides of the building like on the first one.

SAWYER: Don, from your vantage point, can you see if there are people coming out down below?

DAHLER: I don't--I can't see the bottom of the base of the building.

GIBSON: There's the wider shot of the two towers now. Both towers have been hit by planes now in the last half-hour, and again, I say, we are--we are totally powerless in knowing what's going on here, except that it would obviously appear this is--can't be a coincidence like this. It would, obviously, be some sort of a concerted attack against both towers of the World Trade Center. This is--again, we're going to show for the third time this tape of the--of the airplane flying in and hitting the World Trade Center.

(Replay of videotape shown)

GIBSON: This is slo-mo, slow motion of the plane coming in and hitting the obscured second tower of the World Trade Center, and you can see flames coming out. And I can't see the plane coming down. You know, if it just...

DAHLER: Charlie, that's a commercial size jet. That is--that did not look like...

GIBSON: No, that's a good-sized airplane. That's...

DAHLER: Yeah, that is--that is not a little commuter plane. That was a good-sized jet.

GIBSON: And I can't tell if it actually flew into the building or if it just clipped it with a wing. And if it did, of course, then there's the frightening prospect that the plane would have crashed right on the streets of--very busy streets of New York.

DAHLER: Yeah.

[...]

Tous les plans diffusés en direct

[ajouté le 15 décembre 2010] Un site présente de manière claire et honnête beaucoup de vidéos du deuxième crash d'avion, le vol UA175 sur la tour n°2 :
911conspiracy.tv/2nd_hit.html.

Il se trouve que l'auteur, Matt Nelson, semble ne pas endosser l'idée de trucages dans les vidéos, malgré les évidences qui se trouvent sur les vidéos de son propre site, et la conclusion qui en résulte que l'avion que l'on nous montre est fabriqué.

Il fait grand cas du travail de Achimspok présenté sous la forme d'une vidéo sur Youtube The last 12 seconds of the alleged flight UA175 - refined, qui montre qu'une simulation 3D sur le système d'information géographique maintenant accessible à tout le monde, Google earth, permet de trouver un lieu de prise de vue pour l'ensemble des plans analysés de la trajectoire finale du supposé vol UA175 avant de s'écraser sur la tour sud du World Trade Center. Or Achimspok ne fait que montrer la compatibilité des vues de l'avion avec un avion artificiellement créé se déplaçant (avec une cinématique totalement incompatible avec celle du Boeing 767-200-ER supposé par l'histoire officielle, cf. plus haut) au dessus d'une ville de New-York reconstituées dans cet univers 3D artificiel.

JAASM
(15) JAASM, extrait d'une vidéo de Lockheed Martin (JASSMVideo2, téléchargeable à partir de www.lockheedmartin.com/products/jassm, visionnage chaudement recommandé, ainsi que celui de JASSMVideo7)

Or les terroristes disposaient, eux aussi d'un système d'information géographique high-tech mêlant images artificielles et images réelles et étaient donc en mesure, avant de sortir une nouvelle vidéo de vérifier grâce à leur système sa compatibilité avec la géométrie. De plus, si la cinématique de l'avion est totalement incompatible avec celle d'un Boeing 767-200-ER, elle est par contre entièrement compatible avec celle d'un missile air sol de pénétration à longue portée tel que le JAASM fabriqué par Lockheed Martin, qui a la précision requise pour atteindre sa cible à quelques mètres près après un vol de plus de 300 km, et qui, étant équipé d'une tête durcie pour cela, pénètre à l'intérieur de sa cible avant d'exploser, comme le montre abondamment Lockheed Martin avec ses nombreuses vidéos de démonstration ( www.lockheedmartin.com/products/jassm ), qui accélère avec des manœuvres en fortes accélérations pour atteindre une vitesse maximale, proche de la vitesse du son, au moment de la frappe, (toutes caractéristiques correspondant à la cinématique de la trajectoire finale officielle du vol UA175), et en plus présente la particularité d'avoir une silhouette d'avion (15). Si un tel missile a été utilisé contre la tour, les quelques images non retouchées de son approche pourraient être interprétées comme des images de l'avion, et les images retouchées n'ont qu'à caler la trajectoire de l'avion artificiel sur celle, réelle, du missile.

Matt Nelson est de plus impressionné par le retrait de Jeff Hill de la promotion des "théories no plane." Jeff Hill, en effet, au cours de ses appels téléphoniques vers le maximum de témoins de l'"avion" n'a fait que renforcer son incrédulité vis à vis de l'avion, à cause du manque de naturel et de sincérité de ces interlocuteurs. Et puis, en décembre 2008, il a téléphoné à un nouveau témoin auteur de vidéo, Jennifer Spell, a eu une conversation de trois heures avec elle et en est ressorti "croyant" (son compte-rendu et la longue discussion qui en a suivi, non concluante, Jennifer Spell, sur son forum pumpitout). En effet, elle croit sincèrement avoir vu l'avion ! Même si c'est pendant une fraction de seconde au travers du viseur du caméscope qu'elle tenait en main, même si elle n'a pas pu relire sa bande enregistrée avant de s'en séparer. (Ce n'est qu'après qu'on la lui ait rendue qu'elle a pu la voir... Avec l'avion.) La sincérité de Jennifer a transformé Jeff... Or en matière de témoignage, ce n'est pas la sincérité d'un témoin que en fait sa véracité : nos sens peuvent être trompés par notre conditionnement. Nous identifions quelque chose en fonction de notre capacité de reconnaissance. Un missile à ailes d'avion tel que le JAASM peut très bien avoir traversé le champs de sa caméra, et elle peut très bien on ne peut plus sincèrement avoir "vu" un avion.

(14) September 11, 2001 - As It Happened - The South Tower Attack (8'53"), collection des images de l'impact du vol UA 175 sur le WTC 2, tour Sud du World Trade Center, telles qu'elles ont été diffusées en direct, mis en ligne par aaroman01. Le début de l'extrait ((9) - 9/11 résolu en 42 secondes) est à 5'38".
L'extrait ((10) - Direct ABC) correspond au début de ce film.
Attention : à partir de 6'30", les images présentées sont des images qui ont seulement été diffusées en différé.
Le même en version flash à télécharger : September_11_2001-As_It_Happened-The_South_Tower_Attack.flv

Le détail des séquences figurant sur cette vidéo est développé dans le texte.

[13 décembre 2010]
La vidéo dans le cadre (14) présente tous les plans tels qu'ils ont été diffusés en direct sur les diverses chaînes de télévision des États-Unis.

Cette vidéo montre successivement les émissions de télévisions telles qu'elles ont été diffusées en direct, sans altération de l'image ni du son, au moment de l'explosion dans le deuxième tour (la tour sud), à 9h03 : l'impact du vol 175. Sans la moindre exception tous les plans sont du même point de vue, du nord et vu de très loin. Successivement apparaissent les émissions des chaînes :

1) 0' à 0'47":
ABC News:
Le seul plan internationalement diffusé,
le commentaire n'est pas très probant en faveur de l'avion : le journaliste présent sur place, Don Dahler, ne l'a pas vu, il a juste entendu l'explosion. Il faut toute l'insistance du présentateur en studio Charles Gibson, avec force repassages du plan filmé en direct, que, lui, a vu, comme tous les téléspectateurs, pour que Dahler consente à admettre cette idée de l'avion : puissance des images de la télévision ! Le détail est développé dans le paragraphe précédent.

2) 0'47" à 1'32:
CBS News:
Pas d'avion, si ce n'est dans le témoignage de Theresa Renaud, au téléphone, interrogée au téléphone par Brian Gumbel, le présentateur de l'émission "Early Show", produite par Jack Renaud, le mari de Theresa ! Étant donné la très grande distance qui sépare Theresa Renaud des tours jumelles, on comprend qu'elle était tout simplement... Devant un écran de télévision ! Se référer à l'analyse développée au début de September Clues (part A www.septclues.com).

3) 1'32 à 2'08":
WNYW-TV (Channel 5, New York):
le plan "Nose in - nose out" analysé en détail par Simon Shack, dans September Clues et des vidéos complémentaires. Le nez de l'avion ressort intact de l'autre côté de la tour ! Preuve absolue de trucage !!! ATTENTION, d'après archive.org, la chaîne de télévision FOX aurait diffusé exactement le même commentaire audio, (Jim Ryan: "As you look at the picture from our chopper now arriving on the scene..." ) qui correspond exactement à CES images, mais avec des images entièrement différentes : un plan fixe de la tour nord dans lequel l'avion d'APPARAIT PAS, ce qui rend le commentaire parfaitement décalé (cf. www.archive.org/details/fox5200109110831-0912 à partir de 31'30").

4) 2'08" à 2'47":
WNBC-TV (Channel 4, New York):
Plan large et d'un point plus élevé que les tours, pas d'avion à l'image, seulement une trace mouvante venant du haut à droite de l'écran, difficile à observer. Ce même plan a d'ailleurs été réutilisé dans les émissions du soir, avec une silhouette d'avion beaucoup plus affirmée !!!
Les commentaires ne parlent pas d'avion mais de l'explosion :

"oh heu... if you're taking a look now, you can see that we just had another explosion and that is another explosion and that is distinctively lower and that is in the other building. Is that what we are witnessing?..."
"That apparently does look like it is in the other building at this point..."

NULLE MENTION D'AVION...

5) 2'47" à 3'39":
NY1 (New York One, All News):
Plan large du nord, l'explosion, pas d'avion,
commentaire:

"Oh th... there is another explosion down on the left side of the second World Trade Center tower. You've seen that huge bowl of fire that went up there. I know it's quite a distant shot, but that looks to me that this is happening at the number 2 World Trade Center at the second World Trade Center tower and... And it is at some distance there, but this is now a dramatic developpement that went on the second World Trade Center tower. And I can imagine that there would be a serious evacuation and a full mobilisation now, of emergency command center and so forh. There is the fire department has moved as much equimpment as posssible to the World Trade Center"

Le commentateur a vu une explosion, mais n'a absolument aucune conscience qu'il y ait eu un avion.

6) 3'39" à 4'25":
WB11 (WPIX-TV, Channel 11, New York):
On voit vaguement l'avion, les commentaires le confirment.

1- ... a lot of... Hah... uncertainty right now as to what is happening.[un point mouvant apparaît sur la droite de l'écran s'approchant des tours pour disparaitre derrière la tour 1, la tour Nord] You can see, there are choppers. I beleive that could be a police helicopter that is that is... Oh!
2-Wao!
1- We just saw...
2- Oh my goodness! You hare looking at another live picture right now...
1- Oh my goodness!
2- ...of what I beleive was a plane that just hit, another plane...
1- Two...
2- This don't look like an accident of any kind at this point. Another plane has hit Tower 2, the twin towers. Hah... You hate to say the word, but, what comes to my mind. There are terrorist attacks. That is what it looks like at this point. Hah... This is something that you've seen on live television just unfolding? Hah... Have'nt seen anything like this before developped on live television un New York...

On note que l'image de l'avion est tellement mauvaise que la présentatrice le prend pour un hélicoptère de la police.

7) 4'25" à 5'40:
WCBS-TV (Channel 2, New York):
Plan large, pas d'avion.
Multiple explosion reconnu par les commentateurs.
"The first [explosion] we understand it was from an air plane, the second we've have no idea..."

8) 5'40 à 6'30:
Fox News Channel (deuxième émission de Fox News qui émettait également avec les commentaires de l'émission 3 - WNYW-TV/Channel 5, New York avec des images sans avion) : ici, reprise des images 1 - de ABC. Le commentaire est détaillé ci-dessus : pas non plus de preuve d'avion, puisque l'avion évoqué dans le studio par le témoin Eric Shawn est un avion volant dans le sens opposé à l'avion qui est supposé se crasher.

Hezarkani butter plane 1
Hezarkani butter plane 2
Hezarkani butter plane 3
Hezarkani butter plane 4
(16) Ces quatre images fixes sont des partie centrées sur l'avion de quatre images successives, accessible en cliquant sur la petite image correspondante, du plan de la vidéo de Michael Hezarkhani montrant le crash de l'avion tel qu'il est repris dans la de DVD "CNN Tribute: America Remembers September 11" (2002), dans une extrait de bonne définition téléchargable à partir de www.911conspiracy.tv/2nd_hit.html#Michael_Hezarkhani  :
les deux ailes de l'avion traversent la parois de la tour comme si cette parois était un rideau de fumée qui se refermerait une fois traversé ; On distingue sur la quatrième image l'extrémité de l'aile droite qui ressort encore de la parois alors que tout le reste de l'aile est passé au travers et que la parois est restée intacte ! UNE SEULE EXPLICATION ; ceci est la signature d'un trucage grossier réalisé à partir de la rencontre entre un modèle 3D de l'avion et un modèle 3D (un cube) de la tour : toute partie du modèle de l'avion qui pénètre dans le cube est effacée par le logiciel, afin de créer l'illusion de la pénétration. Manque de chance, dans le monde réel, la parois ne peut pas laisser passer un objet et se refermer après son passage, puis exploser de l'intérieur pour qu'enfin soit découpée grossièrement la forme de l'objet qui était auparavant passé au travers, comme on le voit sur la vidéo. Le trucage est évident !

Et quelques uns des plans diffusés en différé

À partir de 6'30", les plans présentés sont des plans NON DIFFUSÉS de l'impact du vol 175 sur la tour sud.

Hezarkhani butter plane

9) 6'30" à 6'50":
Vidéo de Michael Hezarkani présentée dans le cadre (9) sur 911 Solution, qui n'a été diffusé qu'à partir du 12 septembre, avec l'une des versions de sa bande son. Cette vidéo est notoirement truquée (le regarder ou le télécharger - vidéo de haute qualité, visionnage image par image recommandé, 9,2 Mo) :
le mur de la tour présente la qualité de "peau auto-réparatrice" (4 photos (16)) qui se reconstitue après pénétration de l'avion (le cas le plus flagrant de trucage),

Diable de Hezarkhani

la tête du diable, avec ses cornes, son nez crochu et sa barbiche pointue (photo), apparait dans les flammes de l'explosion,
l'angle de la prise de vue est impossible à reproduire,
la bande son est changeante,
l'auteur est incapable de dire où il était quand il a filmé (cf. ses entretiens avec Jeff Hill)...

Elle a été diffusée pour la première fois par CNN le 12 septembre à 0h15, heure de New-York, le lendemain seulement des attentats (détail chez Killtown).

A partir de 6'50", le son est le commentaire de la National Public Radio et parfois le son des "vidéo amateurs" diffusées.

10) 6'50" à 7'19":
Vidéo reprise dans le film Bowling for Colombine, de Michael Moore, (source killtown.911review.org/2nd-hit.html#Columbine)
Alors que l'avion est très visible sur la vidéo venant de la gauche 3 secondes avant l'explosion, l'homme au premier plan, comme le porteur de caméra, ne réagissent que 9 dixièmes de secondes après l'explosion, l'homme en levant son appareil pour prendre une photo, le porteur de la caméra en lui faisant faire une mouvement brusque. Comment expliquer leur absence de réaction à l'arrivée de l'avion ?

11) 7'19" à 7'35":
le "dive bomber" diffusé par la chaîne ABC (première diffusion pas avant 9h10, d'après Killtown, réf. killtown.911review.org/2nd-hit.html#CBS_Live_1). C'est le deuxième plan qui a été repris par les chaînes françaises plus de deux heures après le crash, en complément du plan 1) de ABC, permettant d'ancrer l'idée totalement fabriquée que l'approche de l'avion avait été filmée en direct par toutes les chaînes de télévision et sous tous les angles...

Tina Cart
(17) Comparaison des vidéo "Tina Cart", Wolfgang Staehle, et de la photo de Robert Clark, (source: killtown.blogspot.com/2007/10/three-wtc-2-crash-shots-taken-from-same.html, image clicable vers l'image en plus grande résolution.

12) 7'35" à 7'47":
Avion noir venant de la gauche. C'est le film de Tina Cart, vidéaste amateur inconnu, diffusé pour la première fois à la télévision, sur CBS, vers 17h30 (8h30 après l'explosion de la tour Sud) (source killtown.911review.org/2nd-hit.html#CBS_Live_1) filmé d'après Killtown depuis l'immeuble du 475 Kent Ave à Brooklin, (domicile de l'auteur de photos du crash, Robert Clark, (17)) à une distance d'environ 3,8 km, ce qui correspond à un retard de plus de 8 seconde du son par rapport à l'image, pourtant on entend dans la bande son de la vidéo, en plus d'un bruit d'explosion avec le décalage normal, une explosion simultanément à la vision de l'explosion de la tour...

13) 7'47" 8'19":
Suite des images de NY Good Day après le crash.

14) 8'19" à 8'54" (fin):
NBC après le crash, mais avec audio et images différences de NBC chanel 4 NY (4), avec le témoignage au téléphone de Jennifer Oberstein :
Jennifer Oberstein: I... I've never seen any... It looks like a movie. I saw a large plane, like a jet go immediately heading directly into the World trade center. It ah... It just flew into it, into the... Into the other tower, going from south to north and I watched the plane right into the World Trade Center. It was a jet. It was a very large plane. It was going fast. It went fast overflew of the e-built (?), and Battery park. It flew right past, almost hit it and then went in.
Anchor woman Katie Couric: This is so shocking of course for everybody watching
Jennifer Oberstein: I have never seen anything like it. It literally flew itself into the World Trade Center.

Et le 3 décembre 2008, appelée au téléphone par Jeff Hill pour détailler son témoignage de l'événement du siècle, cette professionnelle des relations publiques est devenu nettement moins prolixe :
"I don't feel confortable discussing it. I'm very sorry. Have a good day"
[hang up...]
Source : http://s1.zetaboards.com/pumpitout/topic/916791/1/ : Pumpitout.com Forum / 911 Research Forums / 9/11 Research / 9/11 Phone Calls / Jennifer Oberstein - 9/11 Witness.

Un lien vers un extrait de 3 minutes environ d'un reportage en fin d'après-midi par CBS sur les lieux des attentats : pour voir comment tout est ramené aux avions, et saisir l'énorme niveau d'émotion qui se dégage : www.youtube.com/watch?v=XW18k8EoJb4 WTC witnesses, CBS, 9/11, 18:32, par 11septembervideos. Il y a trois témoins, dont deux jeunes femmes qui sont ensembles.

Alors ?

L'avion que l'on a "vu à la télé" ? Est-il un avion réel ? Serait-il envisageable que les télévision aient menti le 11 septembre, en plein déroulement des attentats ?

The most powerful weapon in the world : www.scl.cc
(18) L'arme la plus puissante du monde (The most powerful weapon in the world), Strategic communication laboratories (www.scl.cc), publicité parue dans plusieurs numéros de Jane's Defence Weekly au début de l'année 2005 représentant l'un de ses opcentres (source www.scl.cc/ads).

Il existe une société qui se vante d'avoir ces capacités (faire mentir l'ensemble des chaînes de radio et de télévision nationales à partir d'un "Opcentre"). C'est la société Britannique Strategic Communication Laboratories (18) qui en fit une démonstration fracassante (article de Slate.com, du 19 septembre 2005 : "You Can't Handle the Truth, Psy-ops propaganda goes mainstream", par Sharon Weinberger) au salon Defense Systems & Equipment International (DSEi), le plus important salon d'armement du Royaume-Uni, en 2005. Si cette société s'en est vanté en 2005, c'est donc qu'il est totalement raisonnable d'envisager que les terroristes auteurs des attentats du 11 septembre ont pu utiliser de tels moyens, et de tenter de mettre à jour leurs méthodes !

[13 décembre 2010]
La démonstration faite par SCL dans son immense "opcentre" reconstitué au salon militaire DSEi International, à Londres, en 2005, remarquée et décrite par Sharon Weinberger dans son article de Slate, est remarquable.

Avec son outil high-tech, l'"opcentre", qui rassemble de nombreux opérateurs attachés à leur console informatique, la société démontre sa capacité à tromper massivement le public d'une grande capitale occidentale comme Londres, en lui faisant interpréter la catastrophe qui lui tombe dessus selon un scénario de fiction soigneusement préparé à l'avance, digne d'un mauvais James Bond, plutôt que de comprendre la réalité de la catastrophe telle qu'elle est... Pour son bien et pour sauver des vies, bien sûr...

Afin de faire passer son scénario de fiction pour la réalité dans la tête du public, l'"opcentre" est capable de "prendre le contrôle du signal de toutes les radio et télévisions nationales en temps de crise."

C'est exactement ce qui s'est produit pendant le déroulement de l'opération de Psy-ops qu'ont été les attentats du 11 septembre ! Le public a interprété ces attentats comme l'œuvre de 19 terroristes kamikaze ayant détourné 4 avions des ligne intérieures américaines sous la direction d'Oussama Ben Laden car tel était le scénario que les terroristes ont imprimé dans la psyché publique, principalement au travers des images des télévisions qu'ils ont contrôlés ainsi que SCL a montré qu'elle était capable de le faire, à Londres, en 2005. Ces criminels n'ont cette fois là pas fait le bien du public en le trompant...

Encore que certains on pu affirmer que ces attentats représentaient une opportunité positive, une bien pour le public :

Le célèbre document de l'association "Project for the New American Century" (PNAC) considérait en 2000 la survenue éventuelle d'un nouveau Pearl Harbor comme une opportunité pour les États-Unis de réaliser le programme de réarmement qu'il jugeait nécessaire pour qu'ils accomplissent leur destiné manifeste.

Le processus de reconversion [réarmement massif et déploiement militaire mondial des États-Unis], même s’il introduit un changement radical, sera vraisemblablement long, à moins d’un événement catastrophique jouant le rôle de catalyseur – comme un nouveau Pearl Harbor ("the process of transformation, even if it brings revolutionary change, is likely to be a long one, absent some catastrophic and catalyzing event – like a new Pearl Harbor.") source : "Rebuilding America's Defenses: Strategy, Forces and Resources For a New Century, A Report of the Project for the New American Century", septembre 2000, page 51, facilement disponible en pdf à partir du site de l'association newamericancentury.org

Traduction et analyse sur desordresmondiaux.voila.net/PNAC/pnac.htm, site de Pierre Bunel.

Benjamin Netanyahou, qui était retiré de ses fonctions politiques entre 1999 et 2002, a ouvertement déclaré le 11 septembre que les attentats du 11 septembre étaient bon pour Israël.

"Asked tonight what the attack meant for relations between the United States and Israel, Benjamin Netanyahu, the former prime minister, replied, ''It's very good.'' Then he edited himself: ''Well, not very good, but it will generate immediate sympathy.'' He predicted that the attack would ''strengthen the bond between our two peoples, because we've experienced terror over so many decades, but the United States has now experienced a massive hemorrhaging of terror.'' (source : New York Times, A day of terror: the Israelis; Spilled Blood Is Seen as Bond That Draws 2 Nations Closer, par James Bennet, publié le 12 septembre 2001.)

Et il a récidivé en 2008.

"Netanyahu says 9/11 terror attacks good for Israel, According to Ma'ariv, Netanyahu said Israel is 'benefiting from attack' as it 'swung American public opinion.' By Haaretz Service and Reuters, 16.04.08)

Les 17 secondes

[13 décembre 2010 - 20 sept. 2011 (complément sur simographie et NTSB]
Dans son étude majeure sur les images télévisées du crash du deuxième avion sur la tour sud du WTC, le film September Clues, réalisé en 2007, Simon Shack remarque sur les 5 séries d'images diffusés en direct (CNN, CBS, WNYW Fox 5, NBC) la présence d'un discret signal sonore exactement 17 secondes avant l'impact de l'avion. Il en déduit l'hypothèse d'une diffusion coordonnée des images par les chaînes de télévision avec ce décalage de 17 secondes par rapport à l'explosion réelle.

C'est exactement ce qui s'est passé.

La diffusion des images "en direct" à la télévision du crash du deuxième avion sur la tour Sud a effectivement été faite avec un retard de 17 secondes par rapport à l'explosion qui a correspondu. Un tel retard par rapport à l'événement correspond à une procédure totalement habituelle dans la diffusion des "directs" télévisés (en.wikipedia.org/wiki/Live_tv).

L'explosion s'est produite à 9h02'54", conformément à l'heure retenue par la Federal Emergency Management Agency (FEMA) dans sa "World Trade Center Building Performance Study" de mai 2002 (page 1-10), établie à partir des enregistrements sismographiques du Lamont-Doherty Earth Observatory de l'université de Colombia, situé 34 km au nord du World Trade Center, l''heure fournie par les enregistrements sismographiques étant extrêmement précis pour la mesure du temps.

La diffusion du crash à la télévision s'est faite à 9h03'11", heure retenue par la commission d'enquête parlementaire dans son rapport (page 8), 17 secondes après. La note correspondante en fin de volume prétend que cette heure a été fournie par le rapport sur la trajectoire du vol United Airline 175, du 19 février 2002, établi par le National Transportation Safety Board (NTSB). Or, ce n'est pas du tout le cas ! Le rapport du NTSB (pdf, disponible depuis 2006 sur la National Security Archive de l'université George Washington) ne donne pas 9h03'11" comme heure de l'impact, mais "approximativement 9h02'40"". Le rapport sur la trajectoire indique utiliser comme source des informations radar. Les auteurs du rapport parlementaire donne une citation fausse à l'appui de l'heure qu'ils ont retenue pour l'impact deuxième avion. Ils pratiquent ici l'escroquerie et la dissimulation. L'heure qu'ils retiennent en trompant sur leur source est l'heure de la diffusion du crash par les télévisions, 17 secondes après l'explosion dans la tour qui a découpé la silhouette d'avion sur sa façade (identique à celle qui avait été découpée sur la première tour), mesurée avec une extrême précision par les sismographes. Ils n'évoquent même pas et ne cherchent pas à expliquer cette première explosion qui, puisqu'elle a eu lieu 17 secondes, avant, selon eux, l'impact de l'avion ne peut pas être expliqué par celui-ci. Quelle imposture !

(19) Synched Out, de Simon Shack (September Clues), montage en simultané de la totalité des diffusions télévisées en direct des images des attentats qui a été faite sur les 5 chaînes nationales, ABC, CNN, CBS, FOX et NBC, entre 8h52 et 9h03 heure de l'explosion de la deuxième tour (en accéléré x2, durée de 7'52") Mis en ligne le 13 sept 2010 par Cantankerous Buddha sur Youtube (lien original sur blip.tv devenu inactif - 7 juin 2014)
Le même à télécharger (480x320 pixels) : Simon_Shack_s_Synched_Out.mp4

Le crash en direct, devant les télévision du monde entier

[13 décembre 2010 - 20 sept. 2011 (complément sur simographie et NTSB)]
La tour Nord avait explosé sur sa face nord, entre les 94ème et 98ème étages, compris dans les étages (93 à 100) occupés par les bureaux Marsh USA, filiale de la société de service et de courtage Marsh & McLennan Companies, Inc. (MMC) (cf. en.wikipedia.org/wiki/Marsh_%26_McLennan_Companies, et en.wikipedia.org/wiki/List_of_tenants_in_One_World_Trade_Center), locataire du plus grand nombre d'étages consécutifs dans la tour, à 8h46'26", ainsi que le rapporte le rapport du FEMA (page 1-10), qui utilise comme référence, pour l'heure, les données sismiques du Lamont-Doherty Earth Observatory de l'université de Colombia, situé 34 km au nord.observatoire. Le rapport de la commission parlementaire (page 7) retient 8h46'40" pour l'impact du premier avion, en prenant pour référence l'étude sur la trajectoire de l'avion faite par le National Transportation Safety Board (NTSB), du 19 février 2002 (pdf disponible depuis 2006 sur la National Security Archive de l'université George Washington), elle-même établie à partir de donnée radar, sans expliquer ce qu'a pu être l'explosion de 8h46'26", heure garantie par la précision des sismographes. Cette tour Nord était celle qui portait sur son toit la grande antenne qui faisait relais pour les émissions de télévision, seul relais pour les chaînes de télévisions locales qui on vu ainsi leur transmissions interrompues. Les chaînes de télévisions nationales ABC, CNN, CBS, FOX et NBC ont progressivement interrompu leur programmes pour diffuser, à partir de 8h52, les images hypnotiques (cf. (19) ci-contre) des tours jumelles vues depuis une grande distance depuis le Nord, donnant pendant de longues minutes aux téléspectateurs l'image de cette façade découpée par un trou en forme de silhouette d'avion, et en écoutant les commentaires des journalistes se demandant ce qui pouvait bien avoir provoqué cette explosion.

Quand la tour sud explose, entre ses étages 78 et 84 (d'après le FEMA), autours des étages occupés par la banque japonaise Fuji Bank (79 à 82, cf. en.wikipedia.org/wiki/List_of_tenants_in_One_World_Trade_Center), les téléspectateurs de ABC, de CNN et des chaînes internationales qui reprennent ce plan (LE MÊME pour les deux chaînes, qui est analysé en détail plus haut, avec la transcription des commentaires en direct sur ABC, cf. ABC : le plan "international") voient pendant une seconde une mauvaise silhouette d'avion arriver par la droite de la tour Nord, qui dissimule ENTIÈREMENT la tour Sud. Cette silhouette, bidimensionnelle et toute noire disparait derrière la tour, puis il y a l'explosion. C'est cet UNIQUE PLAN qui sera rediffusé en boucle jusqu'à la nausée pour toutes les chaînes de télévision de la planète dans les deux heures qui ont suivi. Puisque tout le monde à vu le deuxième avion, c'est donc qu'il y avait aussi eu un premier avion. On n'aura alors aucun mal à accepter l'histoire du troisième et du quatrième avion.

(20) TF1, 11 septembre 2001, après 15h29, extrait du Flash spécial, (8'7") enregistrement de TF1 débuté peu après 9h29, heure de New York (15h29, heure de Paris), heure à laquelle le président Bush a prononcé une déclaration en direct à la télévision depuis la Booker Elementary School, en Floride, qu'il visitait ce matin là, mis en ligne par gillesazzo sur Dailymotion : 19 diffusions du plan ABC/CNN de l'avion, qui avait été diffusé en direct à 9h03, dont 13 en boucle, principalement au ralenti en 2'30, au début. (Également partie 2 (8'30"), et partie 3 (7'56"))
(21) France 2, 11 septembre 2001, Flash spécial 15h33-17h39, (2h16') débuté à 9h33, heure de New York (15h33, heure de Paris), David Pujadas, Thierry Curtet, Etienne Leenhardt, Thierry Thuillier. Mis en ligne par ReOpen911 sur Dailymotion : plan ABC/CNN de l'avion uniquement. Thierry Thuillier désigne, images à l'appuis, (5', à 15h38) Oussama Ben Laden somme principal suspect. L'INA a mis en ligne sur ses archives le début de ce flash spécial (2'36").
(22) France3, 11 Septembre 2001, Flash Special,15h49-16h03, Élise Lucet, Patrick Hesters, Christian Malar. Mis en ligne par ReOpen911 sur Dailymotion : débuté à 9h49, heure de New-York et Washington, plus de 3/4 d'heure après l'attentat contre la deuxième tour, juste une minute après l'attentat contre le Pentagone. Le seul plan de l'avion présenté est celui de ABC, diffusé égalemnt par CNN. Christian Malar raconte, à 15h53 qu'un de ses correspondants de l'entourage du premier ministre Israélien Ariel Sharon, "interrogé il y a quelques instants", lui a désigné Al Qaïda et Oussama Ben Laden comme le principal suspect de l'organisation des attentats, plutôt que le FDLP palestinien, dont la revendication est "citée par toutes les dépêches". La fin du flash diffuse, en plan large et lointain du nord, le premier effondrement, de la tour sud (frappée par la deuxième explosion), effondrement qui s'est produit à 9h59. Flash également mis en ligne par l'INA sur ses archives.

En Europe, en "direct" et pendant les deux heures qui ont suivi, c'est cet unique plan ABC montrant pendant une seconde et demie une silhouette d'avion arrivant de la droite qui a été montrée, passé et repassé en boucle et à toutes les vitesses. Par exemple, l'extrait (20) de TF1, débutant peu après 15h29 (9h29 heure de New York, 1/2 heure après l'attentat de la deuxième tour) repasse le plan ABC 13 fois en boucle, principalement au ralenti, sur un peu plus de 2 minutes ! Voir aussi (21) le flash spécial de France 2, débuté à 15h33, une demi-heure après l'attentat, et (22) celui de France 3, débuté à 15h49, 3/4 d'heure après. Tous ne diffusent comme plan de l'avion que le même et sempiternel plan ABC.

Les trois chaînes nationales françaises, dans leurs flashs spéciaux respectifs diffusés dans les deux heures qui ont suivi l'explosion de la deuxième tour ont été incapables de fournir à leurs téléspectateurs d'autre plan de l'avion que ce plan minable de ABC qui avait été le seul diffusé en direct à la télé, alors que tout le monde croit que les caméras de toutes les télés braquées sur les tours ont capté en direct et sous tous les angles des plans de l'avion !

Les téléspectateurs n'ont absolument pas pu réaliser l'indigne pauvreté de cette unique image : ils ont été tenus en haleine par une succession d'événements tous plus dramatiques les uns que les autres. Ainsi que l'a commenté le journaliste Étienne Leenhaardt, depuis Washington sur France 2, à 17h48 (11h38, heure de New-York, Flash spécial de France 2, 11 septembre, 17h39-19h55, sur Dailymotion) :

Ce qui est aussi très surréaliste, sur toutes les chaînes de télévisions arrivent des informations les unes après les autres et on l'impression que, à chaque demi-heure, une nouvelle information, avec un nouvel avion qui est tombé, ou un nouvel incendie, crée une forme de psychose qui ne fait que s'enrichir au fil des minutes.

Effectivement, le public en a eu, une accumulation de nouvelles carastrophiques :

Le public est tout entier dans la psychose créée par la succession de catastrophes. Au bout de deux heures seulement (à 17h00, sur France 2, 11h00, heure de New-York), les télévisions commencent à joindre à l'image ABC, l'image de CBS de l'avion qui arrive par la gauche, d'en haut de l'écran, commençant à imprimer dans les esprit, l'idée totalement fausse que toutes les caméras braquées sur les tours ont capté et diffusé en direct l'approche de l'avion. C'est ainsi que les commentaires sont orientés. À l'heure du journal du soir, l'idée sera définitivement imprimée dans les esprits, même si elle ne s'appuie que sur deux plans très lointains et pauvres (le plan ABC, le seul a avoir été diffusé en direct, puis le plan CBS qui n'a commencé à être diffusé qu'au bout de deux heures).

Au journal télévisé du soir, les chaînes montraient le plan ABC où l'avion arrive par la droite, puis le plan CBS où l'on voit (très mal) l'avion arrivant par la gauche, et le commentateur expliquait que les caméras braqués sur les tours, supposées nombreuses, avaient enregistré son approche sous différents angles. Le téléspectateur est supposé comprendre que ces multiples plans supposés de l'approche de l'avion sous différents angles, dont on ne lui montrait que deux par simple choix éditorial, avaient été naturellement diffusés en direct sur les nombreuses chaînes de télévision des États-Unis, pays roi de la télévision, à New-York, ville reine de la télévision. Par exemple, à 19h25, Christophe Nardini, sur FR3 commentait la diffusion de ces deux plans successifs :

"Les chaînes de télévision qui diffusaient en direct filment ce deuxième impact sous différents angles."

Le tour est joué ! Le monde entier croit, aussi fort qu'il croit en ce qu'il a vu à la télé, en l'existence de ces avions crashés sur les tours.

C'est ensuite que très progressivement sont apparues d'autres images de l'avion. En particulier aucun plan en vue directe de l'avion se crashant dans la tour, sur sa face sud, n'a été diffusé avant le lendemain, le 12 septembre !

Psy-Ops

[13 décembre 2010]
Comme l'explique Eric Karlstrom (professeur de géographie à California State University, Stanislaus) sur son site www.911nwo.com/911MediaHoax.html (lecture chaudement recommandée), une telle mystification du public, une telle montée dans la psychose, ont été rendus possibles par le recours à des techniques élaborées de simulation et de réalité virtuelles du type de celle dont, par exemple, la société Britannique Strategic Communication Laboratories, évoquée ci-dessus s'est publiquement vantée en 2005 d'être capable. Il s'agit de la technique militaire du Psy-Ops, définie ainsi :

Les opérations psychologiques sont des opérations planifiées pour transmettre des informations et des indicateurs sélectionnées à des auditoires étrangers pour influencer leurs émotions, leurs motivations, leur raisonnement objectif, et finalement le comportement de gouvernements étrangers, d'organisations, de groupes et d'individus. (JP 1-02 DOD Dictionary of Military and Associated Term)

Parmi les outils high-tech utilisés pour cette opération tendant à imprimer dans la perception du public l'impression des quatre avion détournés et transformés en bombes volantes, ont été utilisés des outils de simulation géographiques en trois dimensions (Google Earth en est un aujourd'hui accessible à tout un chacun) qui on permis de recréer artificiellement les avions et leur insertion dans la "réalité". C'est le recours à un tel outillage de simulation géographique et trois dimensions, mêlant images réelles et images virtuelles qui a permis d'assurer une relative cohérence entre les images de l'avion apparu très progressivement, dans la journée du 11 septembre, et après.

Le centre de commandement de l'Office of Emergency Management de la ville de New-York, 23ème étage de la tour n°7

[13 décembre 2010]
Le candidat idéal comme studio de réalisation de cette "réalité artificielle" du 11 septembre, qui aurait pu fournir en continu les chaînes de télévision en images, est le centre de commandement du bureau de gestion de crises la ville de New-York (New York City Office of Emergency Management - OEM), idéalement situé dans la tour n° 7 du World Trade Center (construite et possédée par Larry Silverstein, celui-là même qui avait en avril 2001 acheté les tours jumelles), au 23ème étage, à l'abri de vitres blindées, pourvu d'un système autonome d'alimentation électrique et de conditionnement d'air, le Bunker du maire à 100 mètres juste au nord de la tour Nord.

L'OEM avait été créé en 1996 par Rudolph Giuliani pour gérer la communication de crise de la ville, les situation de crises telles que les attentats majeurs, et sa réponse à tout incident, en coordonnant l'activité de toutes les agence impliquées (selon le rapport de la commission parlementaire, page 284). Ces locaux étaient équipés pour recevoir les images des caméras de surveillance de la ville et du port ainsi que des télévisions (ibid. page 542). Son premier directeur de 1996 à février 2000 était Jerome Hauer (celui-là même qui explique longuement à la télévision, juste après les attentat comment interpréter les événements, repris dans 9/11 solutions, (9) ci-dessus, un hasard...) Les locaux de l'OEM, au 23ème étage de la tour n° 7, qui avaient coûté 13 millions de dollars, avaient été inaugurés en juin 1999, dans la polémique et l'incompréhension générale. Pourquoi installer un bunker en l'air ? S'il était capable de recevoir les signaux de toutes les caméras de surveillance de la ville ainsi que des télévisions, ce centre, tout neuf de 1999, avait aussi, de part sa fonction de communication de crise, comme les centres de gestion de crises modernes, la capacité d'envoyer du signal vers ces mêmes chaînes de télévision, puisqu'il lui fallait la capacité d'alerte des population, qui passe en principalement par l'intermédiaire des chaînes de télévision.

Or, le matin des attentats, à partir de la première explosion, le personnel de l'OEM s'est installé directement dans le hall du la tour nord du WTC, autour de son directeur, Richard Sheire, plutôt que dans ses propres locaux équipés (d'après historycommons.org citant le livre Grand Illusion: The Untold Story of Rudy Giuliani and 9/11 de Wayne Barrett et Dan Collins - 2006, pp. 31, 34, reprenant le témoignage de John Farmer, qui travaillait pour la commission parlementaire d'enquête, et correspondant à ce qui est relaté dans le rapport de la commission parlementaire, page 293, il y avait dans ce hall un grand nombre de personnel de l'OEM, directeur compris).

Ils ont quitté le hall de la tour nord peu après 9h30. Peu après 9h30, d'après le rapport de la commission parlementaire (page 305) un responsable de l'OEM a ordonné l'évacuation des locaux du WTC 7 car un agent des services secrets l'avait averti qu'on avait perdu le contrôle d'autres avions. Étonnante décision ! La rumeur de troisième avion leur fait abandonner ce centre de commandement, idéalement situé en vue directe du lieu vers lequel porter les secours, au 23ème étage, en vue directe face à la tour Nord, à 100 mètres. Comme rapporté par le NIST (NIST NCSTAR 1-7 The Emergency Response Operations, page 161), le chef des pompiers de New-York a pu déclarer, ayant été éconduit de l'accès au WTC7 :

“Totalement ridicule, j'ai pensé. On a un centre de commandement à 13 millions de dollars et on ne peut même pas l'utiliser.”

Aucun agent de liaison d'autres agence n'avait même rejoint ces locaux. Rudolph Giuliani, le maire du New-York, n'a pas jugé utile d'y aller (d'après hisrorycommons.org). Ces locaux tout neuf et adaptés sont-ils restés vides ? Barrett et Collins, auteurs de Grand Illusion: The Untold Story of Rudy Giuliani and 9/11, cité plus haut, ont même conclus que le centre de commandement n'a pas fonctionné depuis le début (pp31 et 34, repris par historycommons.org). Ils ont rapporté ainsi le témoignage de John Farmer de la commission parlementaire d'enquête sur les attentats :

“We [the 9/11 Commission] tried to get a sense of what Sheirer was really doing. We tried to figure it out from the videos. We couldn’t tell. Everybody from OEM was with him, virtually the whole chain of command. Some of them should have been at the command center.”

et du capitaine des pompiers, Kevin Culley :

Fire Captain Kevin Culley, who works as a field responder at OEM, is later asked why most of the OEM’s top brass were with him at the scene of the incident. He says, “I don’t know what they were doing. It was Sheirer’s decision to go there on his own. The command center would normally be the focus of a major event and that would be where I would expect the director to be.” When the 9/11 Commission later investigates OEM’s shortcomings on 9/11, “No rationale for Sheirer’s prolonged lobby stay, no information conveyed to commanders, and no steps to coordinate the response” will be discovered.

On dispose du témoignage de Barry Jenning, employé de la ville de New-York, qui le matin après le début des attentats, est monté pour aller dans les locaux de l'OEM, en compagnie de Michael Hess, conseiller municipal, et proche du maire, qu'il ne connaissait pas à l'époque. Ils n'ont pas pu sortir de l'ascenceur au 23ème étage, portes bloquées. Ils sont redescendus et sont remonté par le monte-charge, ont réussi à rentrer pour trouver les locaux désertés, avec encore du café fumant et des sandwichs entamés. Ils sont tout de suite redescendus par les escaliers mais se sont trouvés bloqués au sixième étage plusieurs heures à cause d'une explosions avant d'être sauvés par les pompiers. Barry Jenning, est mort, à 53 ans, le 19 août 2008. (réf. Témoignage de Barry Jennings, survivant du WTC7 et décédé le 19/08/2008, sur reopen911.wordpress.com.)

Pour ce qui est de la relocalisation du poste de commandement pour les secours, le maire s'est installé à l'école de la police (rapport de la commission parlementaire, page 311), puis sur le quai 92 (Pier 92) à l'ouest de Manhattan, dans des locaux qui avaient été aménagé pour servir de centre de secours dans le cadre d'un exercice de réaction à une attentat majeur dans la ville, une attaque biochimique, qui, d'après le témoignage du maire, devait se tenir, coïncidence troublante, le lendemain, le 12 septembre : l'exercice TRIPOD II, source : Rudolph Giuliani, Leadership, 2002, page 355).

Y a-il une possibilité d'envisager que les locaux de l'OEM désertés de manière incompréhensible par leurs occupants légitimes aient pu être occupés par les opérateurs de ce système de réalité virtuelle pressenti qui aurait "créé l'avion" ? Comme par l'équipe qui a supervisé la démolition successive des deux tours ? On comprendrait dans ce cas que la tours n° 7 elle-même ait été détruite dans l'après-midi, ce qui aurait présenté l'avantage de détruire l'arme du crime.

A 17h20, le 11 septembre, l'immemble s'est effondré, détruisant ce beau centre de commandement des secours tout neuf, qui n'aurait même pas servi...
À moins que...

Pentagone

[13 décembre 2010]
Une autre ressource importante et en français à signaler :

De plus, Alexis Kropotkine a réalisé un sous-titrage en français du documentaire phare de CIT résumant leurs découvertes National Security Alert (sur dailymotion - 1h21'47"). Ce documentaire est puissant. Il ne faut toutefois pas se laisser tromper par la confusion faite dés le début dans la comparaison entre ce qui s'est passé au Pentagone avec ce qui s'est passé au World Trade Center. En effet, au début du documentaire, est prononcé ce commentaire : "Contrairement à l'attaque contre le World Trade Center, l'attaque contre le Pentagone ne fut pas diffusé en direct à la télévision." L'image qui l'illustre est la vidéo de Michael Hezarkhani, une vidéo truquée, qui n'a été diffusé pour à la première fois à télévision, sur CNN, comme indiqué plus haut, que le lendemain, 12 septembre, à 0h15, tout de même plus de de 15 heures après l'événement, un délais largement suffisant pour truquer l'image. Craig Ranke fait une confusion entre la mauvaise image diffusée en direct (avec 17 seconde de délais) et les images successivement et très parcimonieusement apparues dans les jours qui ont suivi. Polarisé sur l'imposture mise en scène au Pentagone, il se laisse manipuler par celle du World Trade Center.

Kropotkine a également organisé une tournée européenne de Craig Ranke du 6 au 17 septembre 2010, avec la projections de son documentaire "National Security Alert," dont plusieurs séances à Paris le jour anniversaire du 11 septembre.

La CIT a démontré, en reprenant les témoignages sur l'avion, supposé s'être crashé sur le Pentagone à 9h37'46", enregistrées après l'attentat et en réinterrogeant soigneusement les témoins, le plus souvent sur les lieux mêmes où ils étaient ce jour là, que :

Quelques uns des témoins interrogés par CIT :

Dans son enquête, Craig Ranke a longuement rencontré et interviewé le chauffeur de taxi Lloyde England, dont taxi avec le le pare-brise cassé, avec un poteau de lampadaire gisant à terre à côté, a été beaucoup photographié, en soutien de l'histoire que ce poteau aurait été renversé par l'avion, qu'il serait rentré dans le taxi en train de rouler, sans laisser la moindre éraflure sur le capot, qu'il se serait arrêté en travers de la route, qu'il aurait retiré le pylône avec l'aide d'un inconnu pour le déposer à terre (23). Après de telles réflexions étranges :

Lloyde England et son taxi
(23) Lloyde England et son taxi (Lincoln Town Car) au capot immaculé, photo horodatée à 22h57 pm (erreur de 12h?) du Cpl. Jason Ingersoll, U.S. Marine Corps), le 11 septembre 2001 (haute définition).
"This is too big for me man, this is a big thing. Man you know this is a world thing happening, I'm a small man. My lifestyle is completely different from this. I'm not supposed to be involved in this. This is for other people. People who have money and all this kind of stuff."
"This is their thing."
"This is for them."
"I'm in it."
"It was planned."
"You know what history is? It’s not the truth. It’s “his story.” Has nothing to do with the truth."
"One thing about it you got to understand something, when people do things and get away with it, you, eventually it's going to come to me, and when it comes to me it's going to be so big I can't do nothin about it."

Devant les évidence du passage de l'avion par la gauche de la station CITGO, il a déplacé le lieu de la scène vers un endroit totalement incompatible avec les multiples photos prises.

Ce Lloyde England a participé à une mise-en-scène.

Val
  McClatchey
(24) Val McClatchey présentant sa photo du prétendu crash ("End of Serenity") en vente sur place pour $20 (Keith Hodan/Tribune-Review).

Shanksville

[13 décembre 2010]
Le vol UA93 se serait écrasé dans un champs à Shanksville, Pennsylvanie, à la vitesse de 580 mph (260 m/s, 930 km/h, selon le rapport de la commission parlementaire, p. 14) à 10h03'11", son pilote kamikaze, Ziad Jarah criant "Allah akbar" au moment ou les héroïques passagers révoltés semblaient proches de prendre le contrôle de l'avion qui était à 20 minutes de Washington, leur courage ayant préservé de la destruction la Maison blanche ou le Capitole, objectifs des pirates.

Une seule référence : Killtown qui analyse en détail (killtown.911review.org/flight93.html) cette partie sous tous ses aspects, témoignages, indices matériels, débris. Ici aussi : pas d'avion écrasé, une mise-en-scène.

Conclusion provisoire, liens et références

Des gens qui sont cités ci-après ont compris l'ampleur du psy-ops et le rôle qu'a tenu la fabrication des images dans sa préparation et son déroulement :

Sans oublier :

Mon travail est maintenant aussi complet que nécessaire pour prouver que le seul avion que nous avons vu le 11 septembre n'était rien d'autre qu'une série d'images animées par ordinateur d'un avion qui disparait dans la tour n°2 du World Trade Center. Il ne faut pas être un génie pour relier les indices entre eux et réaliser que s'ils ont fabriqué ce "crash", alors les autres "crashes" n'étaient que des "histoires."

À mon avis, il n'y a pas d'intérêt à mettre en avant les autres aspects du 11 septembre tant que ce fait ne fera pas partie de la connaissance commune. Je recommande aux créateurs vidéo de talent d'utiliser les concepts et images de mes articles afin d'aider à faire passer cette information dans la connaissance commune.

Si vous aviez à construire un château de carte avec tous les mensonges et les désinformations qui abondent autour du 11 septembre, ceci est la carte maîtresse dont le retrait entraînera l'effondrement de l'ensemble. C'est pourquoi je ne me suis jamais dispersé dans mes efforts pour prouver ceci, sans considération pour la facilité qu'il y aurait à prouver d'autres mensonges.

Bien sûr ils ont fait exploser les tours. Bien sûr rien ne s'est écrasé sur le Pentagone. Bien sûr rien ne s'est écrasé à Shanksville. Bien sûr le mouvement pour la vérité sur le 11 septembre est infesté par des gens qui font la promotion d'encore plus de mensonges que l'histoire originale.

Rien de tout cela ne veut rien dire... Si vous êtes capable de prouver que tout a commencé avec une explosion Hollywoodienne.

Maintenant sortez et faite passer le mot. Si quelqu'un a besoin d'une aide quelconque de ma part, demandez le moi dans la section des commentaires. [ajout du 15 déc. 2010]

Cette conclusion de 2007 est valable aujourd'hui.
Le créateur de vidéo de talent espéré s'est manifesté, c'est Simon Shack, avec son chef d'œuvre, "September Clues", (téléchargeable à partir de www.septclues.com, téléchargement recommandé car plus pratique que la vue en ligne pour visualiser avec les nombreuses pauses et retours en arrière nécessaire pour bien saisir le propos) ; ceci dit sans nullement vouloir faire de jaloux, car il y a beaucoup d'autre créateurs vidéo de talent :) [ajout du 15 déc. 2010]

Pour comprendre comment les terroristes du 11 septembre ont pu avoir une telle audace dans l'horreur et la tromperie, et également la situation présente de répression des doutes qui sont exprimés sur l'histoire officielle des attentats du 11 septembre, malgré ses multiples incohérences qui sont prouvées, il est bon de méditer la citation suivante d'un spécialiste et praticien du mensonge et de la mystification monstrueuse, plutôt célèbre, Adolf Hitler, qui écrivait, en 1925, dans Mein Kampf :

"Tout ceci a été inspiré par le principe - très vrais en lui-même - que dans le gros mensonge, il y a toujours une certaine force de crédibilité ; car les larges masses d'une nation sont toujours plus facilement corrompues par leurs émotions les plus profondes, plutôt que consciemment ou volontairement, et donc, dans la simplicité primitive de leur esprit, les gens tombent plus facilement victimes d’une monstrueuse fiction que d’un petit boniment, car eux-mêmes se laissent souvent aller à de petites contrevérités peu importantes, mais auraient honte de recourir à de grosses mystifications. Il ne leur viendrait jamais à l’esprit de fabriquer une énorme imposture, et sont incapables de croire qu’un autre pourrait avoir pareil toupet. Même si des faits prouvant qu'il en est ainsi sont portés de manière claire à leur connaissance, ils continuent de douter et pensent qu'il pourrait y avoir une autre explication. En effet les mensonges les plus impudents laissent toujours des traces derrières eux, même après qu'ils aient été proclamés comme des vérités absolues. C'est un fait bien connu des experts en mensonge dans ce monde et de tous ceux qui conspirent entre eux dans l'art de mentir."

Les terroristes du 11 septembre ont su lire, méditer et mettre en pratique les principes d'Hitler lui-même. L'imposture de l'avion est la maîtresse carte de leur forteresse de mensonge, appuyée sur le conditionnement Hollywoodien des foules occidentales. Les maîtres ont su rester cachés mais plusieurs comparses ont été dévoilés. La justice doit passer. TOUTES les nations de la planète sont concernées :

Résolution 1368 (2001)
Adoptée par le Conseil de sécurité à sa 4370e séance,
le 12 septembre 2001
Le Conseil de sécurité, Réaffirmant les buts et principes de la Charte des Nations Unies, Résolu à combattre par tous les moyens les menaces à la paix et à la sécurité internationales causées par les actes terroristes, Reconnaissant le droit inhérent à la légitime défense individuelle ou collective conformément à la Charte,
1. Condamne catégoriquement dans les termes les plus forts les épouvantables attentats terroristes qui ont eu lieu le 11 septembre 2001 à New York, Washington (DC) et en Pennsylvanie et considère de tels actes, comme tout acte de terrorisme international, comme une menace à la paix et à la sécurité internationales;
2. Exprime ses plus profondes sympathie et condoléances aux victimes et à leur famille ainsi qu’au peuple et au Gouvernement des États-Unis d’Amérique;
3. Appelle tous les États à travailler ensemble de toute urgence pour traduire en justice les auteurs, organisateurs et commanditaires de ces attentats terroristes et souligne que ceux qui portent la responsabilité d’aider, soutenir et héberger les auteurs, organisateurs et commanditaires de ces actes devront rendre des comptes;
4. Appelle également la communauté internationale à redoubler d’efforts pour prévenir et éliminer les actes terroristes, y compris par une coopération accrue et une pleine application des conventions antiterroristes internationales et des résolutions du Conseil de sécurité, en particulier la résolution 1269 (1999) du 19 octobre 1999;
5. Se déclare prêt à prendre toutes les mesures nécessaires pour répondre aux attentats terroristes du 11 septembre 2001 et pour combattre le terrorisme sous toutes ses formes, conformément à ses responsabilités en vertu de la Charte des Nations Unies;
6. Décide de demeurer saisi de la question.

TOUS les États doivent donc bien, en vertu de cette résolution du conseil de sécurité prise le lendemain des attentats, travailler en toute urgence pour traduire en justice les auteurs, organisateurs et commanditaires de ces attentats terroristes. Plus de 9 ans après, le seul individu jugé et condamné pour les attentats est le FRANÇAIS Zacarias Moussaoui, condamné par la justice des États-Unis en 2006 à la prison à vie et à l'isolement, sans possibilité de libération anticipée (des conditions plus sévères que celles du plus sévèrement condamné en France), alors qu'il était en prison lors des attentats, et ne peut au pire qu'être un comparse de dernier rang. Hormis Moussaoui, personne n'a aujourd'hui été traduit en justice, alors que c'était l'obligation solennellement proclamée par les nations du conseil de sécurité dés le 12 septembre 2001, et que la meurtrière guerre en Afghanistan toujours en cours aujourd'hui a été engagée soit disant pour que cette justice se fasse.

Les justices de tous les pays des Nations Unies sont concernées et doivent utiliser leurs moyens d'enquête en commençant à s'intéresser aux éléments matériels à disposition, aux témoins, aux comparses identifiés que l'on soupçonne maintenant fortement de complicité consciente ou non. (Cas non encore abordé ici, les deux Français Jules et Gédéon Naudet, les deux "documentaristes amateurs" qui se sont dit "choisis" pour être les témoins de ces attentats, dont l'œuvre - le documentaire "9/11" sur les attentats, est disséquée opiniâtrement et en grand détail depuis maintenant 8 ans par l'Écossais Leslie Raphael - www.frankresearch.info/Naudet911) Les justices des nations doivent ainsi, avec opiniâtreté et méthode, remonter aux auteurs, organisateurs et commanditaires qui sont encore dans l'ombre et en liberté. La vérité, la justice, et la paix sont en jeu.

11 septembre, mythe public

[13 septembre 2011]
Les attentats du 11 septembre, suivant précisément la trame d'un film Hollywoodien (comme montré ci-dessus) sont immédiatement devenu un "mythe public".

Un "mythe public" est défini ainsi par l'historien William H. McNeill en 1982, dans un article publié dans le numéro d'automne 1982 de la revue Foreign Affairs :

L'entretien et la réparation du mythe public
William H. McNeill
Foreign Affairs, automne 1982

Le mythe est à la fondation de la société humaine. C'est parce que les mythes sont des dispositions générales sur le monde et ses composantes, comme les nations et autres regroupements humains, qui sont considérées comme vrais et sont donc appliquées dans toutes les circonstances qui nécessitent ou exigent une réponse commune. C'est, pour l'humanité, l'équivalent de l'instinct. C'est la manière unique et caractéristique qu'ont les hommes d'agir ensembles. Un peuple sans carquois remplis de dispositions appropriées et agréés, acceptées à l'avance au travers de l'éducation ou, de manière moins formalisée, de l'acculturation, se trouve rapidement en grande difficulté, parce qu'en l'absence de mythes crédibles, une action publique cohérente devient très difficile à improviser ou à faire durer.

De plus, les mythes sont basés sur la foi plutôt que sur les faits.

Texte original :
The Care and Repair of Public Myth
William H. McNeill
From Foreign Affairs, Fall 1982

Myth lies at the basis of human society. That is because myths are general statements about the world and its parts, and in particular about nations and other human in-groups, that are believed to be true and then acted on whenever circumstances suggest or require common response. This is mankind's substitute for instinct. It is the unique and characteristic human way of acting together. A people without a full quiver of relevant agreed-upon statements, accepted in advance through education or less formalized acculturation, soon finds itself in deep trouble, for, in the absence of believable myths, coherent public action becomes very difficult to improvise or sustain.

Myths, moreover, are based on faith more than on fact.

William H. McNeill est professeur d'histoire à l'université de Chicago

Le 15 octobre 1998, Philip Zelikow [Wikipedia], historien contemporain, directeur du Miller Center de l'université de Virginie, à l'occasion de son introduction à une conférence sur l'histoire politique contemporaine, organisée par le centre qu'il dirige, a actualisé la notion de "mythe public" de William McNeill en la renommant "présomption publique", définie ainsi :

De telles présomptions sont des croyances (1) considérées comme vraies (bien que pas nécessairement connues pour être vraies avec certitude), et (2) partagées par tous à l'intérieur de la communauté politique considérée. Les sources de telles présomptions sont à la fois personnelles (l'expérience vécue) et intermédiées (livres, films et mythes).
Source : Miller Center Report, Vol 14, N° 3, Winter 1999 [http://www.virginia.edu/~miller] ; texte original :
Such presumptions are beliefs (1) thought to be true (although not necessarily known to be true with certainty), and (2) shared in common within the relevant political community. The sources for such presumptions are both personal (from direct experience)and vicarious (from books, movies, and myths).

Philip Zelikow précise ainsi que les moyens d'"acculturation", évoqués par William McNeill, qui permettent de diffuser la croyance dans les "mythes publics", ou, pour reprendre son vocabulaire, les "présomptions publiques", sont les "livres" et les "films". Il précise que, dans la société américaine, les "mythes publics" sont principalement (pas toujours) des événements remontant à moins de 60 ans (comme "Munich", pour la génération des combattants de la deuxième guerre mondiale). Ce sont aussi des événements dramatiques sortis du temps (comme "Alamo" [Wikipedia], la "charge de Pickett" [Wikipedia] le "Titanic" [Wikipedia]), ou des événements passés qui entrent en résonance avec des événements récents (comme, en 1998, "Watergate", vs. la crise Clinton)

Toujours dans Foreign Affairs, cette même année 1998, Ashton B. Carter, professeur à la John F. Kennedy School of Government de l'université d'Harvard, ancien secrétaire assistant à la Défense des États-Unis (et en 2011, sous secrétaire à la défense pour les acquisitions, la technologie et la logistique [Wikipedia]), John Deutch, Diretor of Central Intelligence [Wikipedia], et le même Philip Zelikow rendaient compte de leur étude sur le terrorisme catastrophique, menée pour la John F. Kennedy School of Government, dans le cadre du projet sur la politique défense préventive à mener par les États-Unis dans le cadre postérieur à la guerre froide. Ils présentaient ainsi le terrorisme catastrophique :

Les attentats à la bombe en Afrique de l'Est ont tué par centaines. Une attaque réussie avec des armes de destruction massive pourrait certainement tuer par milliers, voire dizaines de milliers. Si l'engin qui a explosé en 1993 sous le World Trade Center avait été nucléaire, ou avait disséminé efficacement une entité pathogène mortelle, l'horreur et le chaos qui en auraient résulté auraient dépassé notre capacité d'entendement. Un tel acte de terrorisme catastrophique serait un événement pivot de l'histoire américaine. Il pourrait provoquer des pertes en vies humaines et en biens matériels sans précédent en temps de paix et miner le sentiment fondamental de sécurité en Amérique, comme l'avait fait l’essai de bombe atomique soviétique de 1949. Comme Pearl Harbor, cet événement diviserait notre histoire entre un avant et un après. Les États-Unis pourraient réagir par des mesures draconiennes, réduisant les libertés civiles, autorisant une surveillance plus large des citoyens, la détention des suspects, et l'usage de la force pour tuer. Plus de violence pourrait suivre, soit plus d'attentats terroristes, soit des contre-attaquantes de la part des États-Unis. A posteriori, les Américains jugeraient que leurs leaders auront été négligeant de n'avoir pas traité du terrorisme de manière plus urgente.
Catastrophic terrorism tackling the new danger, Ashton B. Carter, John Deutch, Philip Zelikow, Foreign Affairs, 1998
Texte original :
The bombings in East Africa killed hundreds. A successful attack with weapons of mass destruction could certainly take thousands, or tens of thousands, of lives. If the device that exploded in 1993 under the World Trade Center had been nuclear, or had effectively dispersed a deadly pathogen, the resulting horror and chaos would have exceeded our ability to describe it. Such an act of catastrophic terrorism would be a watershed event in American history. It could involve loss of life and property unprecedented in peacetime and undermine America's fundamental sense of security, as did the Soviet atomic bomb test in 1949. Like Pearl Harbor, this event would divide our past and future into a before and after. The United States might respond with draconian measures, scaling back civil liberties, allowing wider surveillance of citizens, detention of suspects, and use of deadly force. More violence could follow, either further terrorist attacks or U.S. counterattacks. Belatedly, Americans would judge their leaders negligent for not addressing terrorism more urgently.

Les attentats du 11 septembre, dans leur interprétation d'une attaque au cœur de la nation innocente par des kamikazes fanatisés par l'idéologie de haine d'Al Qaïda, nouveau Pearl Harbor (dans l'interprétation sans nuance du film à gros budget [Wikipedia] sorti en mai 2001 aux États-Unis, et le mois suivant en France), une interprétation scrupuleusement fidèle à un scénario d'Hollywood [Annedebalam], entrent parfaitement dans la définition de l'acte de "terrorisme catastrophique", anticipé par Philip Zelikow, immédiatement entré au rang de "mythe public", si cher à ce même Philip Zelikow. Il y a bien un avant et un après le 11 septembre. Grâce en particulier à l'aide d'Hollywood qui a préparé l'esprit du public et façonné ses réflexes, Hollywood qui a permis l'"acculturation" du public, le 11 septembre est devenu le "mythe crédible" qui a permis l'"action publique cohérente" et soutenue dans la durée que sont encore, 10 ans après, les guerres contre les soutiens du terrorismes et les états terroristes (Afghanistan, Irak, et même, dix ans après, Libye), les multiples lois sécuritaires (US Patriot Act encore en vigueur dix ans après, sans le moindre assouplissement de la part du président démocrate Obama [reconduit par lui le 26 mai 2011, depuis la France, pour 4 ans, soit donc jusqu'en 2015], mesures de surveillance et de sécurité en Europe [en France, LOPPSI 2, vue par Jean-Claude Paye]...) Comme prévu par McNeill et Zelikow, peu importe la vérité du mythe, il importe qu'il soit cru par la collectivité, pour que l'action publique qu'il rend possible puisse se poursuive. C'est ainsi que le 11 septembre est devenu un événement dont les membres de la société se doivent de partager l'interprétation sous peine d'être raillés et renvoyés dehors (dans l'enfer conspirationniste.) La croyance au récit officiel du 11 septembre est devenue une obligation de "bon citoyen", comme en témoignent par exemple, en France, les "affaires" Meyssan [L'effroyable imposture], Cotillard [Annedebalam], Bigard [Kropotkine] ou Chauprade [Taïké Eilée]. La croyance au "mythe public" du 11 septembre est devenue la condition d'intégration à la société. Comme tout "mythe public", celui du 11 septembre est devenu un moyen de gouvernement.

En 2003, Philip Zelikow a été nommé directeur exécutif de la commission d'enquête parlementaire sur les attentats du 11 septembre, présidée par Thomas H. Kean et coprésidée par Lee H. Hamilton, qui avait été instituée le 27 novembre 2002 par le président et le congrès, 442 jours après les attentats.

Dans son livre, The Commission: The Uncensored History of the 9/11 Investigation [Amazon] , publié en 2008, Philip Shenon révèle (pp. 388, 389) :

Après qu'en janvier 2003, Kean et Hamilton l'aient approché pour mener l'enquête, Zelikow a immédiatement téléphoné à [Ernest] May pour savoir s'il devait accepter [...] [May] se souvient que l'appel a duré plus d'une heure, et qu'ils sont tombés d'accord que c'était une opportunité extraordinaire d'essayer de produire le "récit historique de qualité professionnelle" d'un événement pivot de l'histoire américaine "au moins du niveau de Pearl Harbor." [...] En tant qu'historien, c'était enthousiasment, May se souvient, d'envisager de rédiger le rapport qui resterait le livre de référence sur les attentats du 11 septembre et qu'il "figurerait encore dans les bibliothèques des professeurs des lycées et des collèges dans une génération." Zelikow voulant tout d'abord avoir l'avis de May sur la façon dont le rapport final devrait être structuré. Ils ont commencé à travailler, en secret, pour en préparer un canevas [...] En mars 2003, alors que l'équipe de la commission était à peine en place, les deux hommes avaient déjà préparé un canevas détaillé, complet avec "titres de chapitres, de paragraphes, et de sous-paragraphes." [...] Il proposa avec May un rapport de seize chapitres qui débuterait par une histoire d'Al Qaïda [...] Zelikow a transmis ce document à Kean et Hamilton, qui ont été impressionnés par le zèle préliminaire de leur directeur exécutif, mais ils se sont inquiété de ce que ce canevas puisse être considéré comme preuve qu'ils - avec Zelikow, auraient déterminé à l'avance les conclusions du rapport. Ils ont alors décidé ensemble de le garder caché du reste de l'équipe [...] Zelikow a alors inventé son propre système de classification interne pour le canevas. Il l'a étiqueté "Sensible Commission," en inscrivant ces mots au haut et au bas de chacune de ses page.
Texte original [citation plus complète par Jon Gold sur OpEdNews; lecture édifiante !] :
After he was approached by Kean and Hamilton in January 2003 about running the investigation, Zelikow immediately telephoned May to discuss whether he should take the job [...] [May] remembered that the call lasted more than an hour, with two men agreeing that it was an extraordinary opportunity to try to produce a "professional-quality narrative history" of a watershed moment in American history, "on par at least with Pearl Harbor." [...] As a historian, it was exciting, May remembered, to think of producing a report that would remain the reference volume on the September 11 attacks and that would be "sitting on the shelves of high school and college teachers a generation hence." Zelikow initially wanted May's advice on how the final report should be structured, and they went to work, secretly, to prepare an outline [...] By March 2003, with the commission's staff barely in place the two men had already prepared a detailed outline, complete with "chapter headings, subheadings, and sub-subheadings." [...] He and May proposed a sixteen-chapter report that would open with a history of al-Qaeda [...] Zelikow shared the document with Kean and Hamilton, who were impressed by their executive director's early diligence but worried that the outline would be seen as evidence that they--and Zelikow--had predetermined the report's outcome. It should be kept secret from the rest of the staff, they all decided [...] Zelikow came up with his own internal classification system for the outline. He labeled it "Commission Sensitive," putting those words at the top and bottom of each page.

Philip Zelikow avait prophétisé l'avènement d'un acte de "terrorisme catastrophique" sur le lieu même du World Trade Center qui deviendrait un "événement pivot de l'histoire américaine", le "nouveau Pearl Harbor". Cet événement s'est produit. Ce sont les attentats du 11 septembre. L'"opportunité extraordinaire" lui est donnée "d'essayer de produire le récit historique de qualité professionelle [de cet] événement pivot de l'histoire américaine au moins du niveau de Pearl Harbor [...] de rédiger le rapport qui resterait le livre de référence [qui] figurerait encore dans les bibliothèques des professeurs des lycées et des collèges dans une génération." Ayant eu sa rédaction supervisée par quelqu'un de tellement intéressé par le "terrorisme catastrophique" et les "mythes publics", "considérés comme vrais" (bien qu'ils ne le soient pas nécessairement,) et tellement nécessaires pour forger à l'intérieur de la communauté les ayant en partage, une "action publique cohérente" que les autorités soient capable de décider et de faire durer, on comprend que le rapport de la commission parlementaire d'enquête sur les attentats du 11 septembre ait entièrement été rédigé pour confirmer le "mythe public" des attentats du 11 septembre, sans intérêt pour l'établissement des faits et l'exploration de toutes les pistes. On comprend que l'on puisse y trouver des perles telles que :

À ce jour, le gouvernement n'a pas été capable de déterminer l'origine des fonds utilisé pour les attentats du 11 septembre. Finalement, cette question n'a pas d'importance pratique.
Texte original (The 9/11 commission report, page 172) :
To date, the U.S. government has not been able to determine the origin of the money used for the 9/11 attacks. Ultimately the question is of little practical significance.

En effet, emporté par son "mythe public" lui dictant la responsabilité d'Al Qaïda et de Ben Laden, quelle importance y a-t-il, pour le rédacteur, de connaître l'origine des fonds qui ont financé les attentats ? Connaissant d'avance le responsable, il sait déjà que c'est Al Qaïda qui a fourni les fonds. Il peut donc facilement se passer de cette information policière habituellement utilisée pour établir les responsabilités.

Autre perle, juste avant la précédente :

Il y a aussi eu des affirmations selon lesquelles Al Qaïda se serait financé en jouant sur le marché des actions grâce à sa connaissance préalable des attentats du 11 septembre. Des enquêtes approfondies par la Securities and Exchange Commission, le FBI, et d'autres agences n'ont pas établi de preuve que quiconque ayant eu connaissance préalable des attentats en ait profité par des transactions sur les marchés financiers.
Texte original :
There also have been claims that al Qaeda financed itself through manipulation of the stock market based on its advance knowledge of the 9/11 attacks. Exhaustive investigations by the Securities and Exchange Commission, FBI, and other agencies have uncovered no evidence that anyone with advance knowledge of the attacks profited through securities transactions.

Avec un appel à une note 130 en fin du document :

130. Des allégations largement diffusées de délits d'initiés sur les marchés avant le 11 septembre reposent sur des rapports de transactions inhabituelles sur les marchés pour les actions des sociétés dont les cours se sont effondrés après les attentats. En effet des transactions inhabituelles se sont en effet produites, mais chacune de ces transactions s'est avérée avoir une explication anodine. Par exemple, le volume des options de vente — investissement qui ne rapporte qu'en cas de chute des cours — a fortement augmenté pour les sociétés mères d'United Airlines le 6 septembre et d'American Airlines le 10 septembre — des transactions fortement suspectes en soi. Or, l'enquête approfondie qui a suivi a révélé que les transactions n'avaient aucun lien avec le 11 septembre. Un unique investisseur institutionnel basé aux États-Unis sans aucun lien concevable avec Al Qaïda a acheté 95% des options de vente sur UAL le 6 septembre dans une stratégie qui consistait également à acheter 115 000 actions d'American le 10 septembre. De même, beaucoup des transaction également suspectes sur American le 10 septembre ont été attribuées à l'influence d'une lettre d'information basée aux États-Unis, spécialisée dans le marché des options, faxée à ses abonnés le dimanche 9 septembre, qui recommandait ces transactions. Ces exemples sont typiques des preuves examinées par l'enquête. La SEC et le FBI, aidés par d'autres agences et par l'industrie financière, ont consacré d'énormes ressources à enquêter sur ce sujet, en s'assurant de la coopération de beaucoup de gouvernements étrangers. Les enquêteurs ont trouvé que ce qui apparaissait suspect s'est à chaque fois avéré anodin. Entretien avec Joseph Cella (16 sept. 2003 ; 7 mai 2004 ; 10–11 mai 2004); présentation du FBI (15 août 2003); mémo de la SEC, Division des applications au siège de la SEC et aux membres de la commission, “Pre-September 11, 2001 Trading Review,” 15 mai 2002; entretien avec Ken Breen (23 avr. 2004) ; entretien avec Ed G. (3 fév. 2004).
Texte original de la note :
130. Highly publicized allegations of insider trading in advance of 9/11 generally rest on reports of unusual pre-9/11 trading activity in companies whose stock plummeted after the attacks. Some unusual trading did in fact occur, but each such trade proved to have an innocuous explanation. For example, the volume of put options—investments that pay off only when a stock drops in price—surged in the parent companies of United Airlines on September 6 and American Airlines on September 10—highly suspicious trading on its face. Yet, further investigation has revealed that the trading had no connection with 9/11. A single U.S.-based institutional investor with no conceivable ties to al Qaeda purchased 95 percent of the UAL puts on September 6 as part of a trading strategy that also included buying 115,000 shares of American on September 10. Similarly, much of the seemingly suspicious trading in American on September 10 was traced to a specific U.S.-based options trading newsletter, faxed to its subscribers on Sunday, September 9, which recommended these trades.These examples typify the evidence examined by the investigation. The SEC and the FBI, aided by other agencies and the securities industry, devoted enormous resources to investigating this issue, including securing the cooperation of many foreign governments.These investigators have found that the apparently suspicious consistently proved innocuous. Joseph Cella interview (Sept. 16, 2003; May 7, 2004; May 10–11, 2004); FBI briefing (Aug. 15, 2003); SEC memo, Division of Enforcement to SEC Chair and Commissioners, “Pre-September 11, 2001 Trading Review,” May 15, 2002; Ken Breen interview (Apr. 23, 2004); Ed G. interview (Feb. 3, 2004).

Comment aurait été traité cet investisseur institutionnel basé aux États-Unis, resté anonyme, si un lien avec Al Qaïda avait été concevable ? À partir du moment où le bénéficiaire de l'opération financière n'a aucun lien concevable avec Al Qaïda, sa transaction est jugée inoffensive.

Encore une perle, alors que le bâtiment 7 du World Trade Center, (47 étages, 186 mètres de haut, 200 000 m², presqu'aussi haut et deux fois plus volumineux que la tour Montparnasse - 59 étages, 210 mètres de haut, 90 000 m² [sources : NIST, rapport de 2008 sur la tour n°7, page 5, et Wikipedia]) est évoqué comme siège de l'Office of Emergency Management de la ville [évoqué plus haut], sa destruction totale et brutale dans l'après-midi,à 17h20, plusieurs heures après l'effondrement des deux tours, n'est même pas évoquée.

Tout à son mythe public le rédacteur du rapport de la commission d'enquête parlementaire, qui en a établi à l'avance un canevas respectant entièrement le mythe public, lui a donné de la consistance en le remplissant de tous les éléments trouvés qui le conforte, et en ignorant tous les éléments qui le contredisent.

Quelques membres de l'équipe de la commission d'enquête que dirigeait Zelikow ne s'y sont pas trompés. Le "canevas détaillé" de Zelikow a fini par circuler à l'intérieur de la commission, en avril 2004, après plus d'un an d'existence, à la toute fin du travail de la commission (le rapport final a été publié le 22 juillet 2004, trois mois après.) Philip Shenon rapporte dans son livre (cité ci-dessus) :

Quelque membres de l'équipe on commencé à faire circuler une parodie en deux pages du travail de Zelikow sous le titre "Rapport de la commission Warren--Canevas préventif." dont on n'a jamais pu établir de manière conclusive le nom de l'auteur. Les têtes de chapitre en comprenaient un intitulé "Une seule balle : Nous n'en avons pas encore vu les preuves. Mais vraiment. Nous en sommes certains."
Texte original [cité par Jon Gold] :
A few staffers began circulating a two-page parody of Zelikow's effort entitled "The Warren Commission Report--Preemptive Outline." The parody's authorship was never determined conclusively. The chapter headings included "Single Bullet: We Haven't Seen The Evidence Yet. But Really. We're Sure."

Vu de l'intérieur de la commission d'enquête, l'acharnement de Zelikow à coller au récit du"mythe" est aussi malhonnête que l'acharnement de la commission Warren d'enquête sur l'assassinat du président Kennedy [Wikipedia], de 1963, à affirmer que c'est une seule balle au parcours acrobatique qui a tué le président et blessé le gouverneur Connally, et donc qu'il n'y avait qu'un seul tireur, Lee Harvey Oswald.

La meilleure illustration de la puissance du mythe du 11 septembre a été donnée par le même Philip Zelikow, le 9 août 2007, quand, à la Chautauqua Institution (état de New-York), interrogé sur les pirates de l'air par Paul Zarembka (professeur d'économie à l'université de Buffalo, New York, éditeur de The Hidden History of 9-11 (Seven Stories Press, New-York, 2008), il a répondu :

Dans l'hypothèse où les attentats du 11 septembre auraient été menés par d'autres que les pirates de l'air, se présente alors tout un univers alternatif, dans lequel les attentats ont eu lieu d'une toute autre façon, oui. Si nous vivions dans un univers parallèle, ce serait une univers entièrement différent. Il n'y a, de notre point de vue, pas beaucoup de preuves que cet univers serait connecté au notre.
Texte original (séquence filmée - Zelikow's parallel universe) :
If the 9/11 attacks were carried out by something other than the hijackers – and there’s a whole alternative universe – in which the attacks occurred in a completely different way, yeah. If we lived in a parallel universe, that would be a very different universe. There’s, in our view, not a lot of evidence that universe is actually connected to this one.

Selon Philip Zelikow, avoir une interprétation déviante des attentats du 11 septembre nous plongerait dans un univers parallèle. Comment interpréter cette métaphore donnée par le spécialiste des mythes publics, spécialiste des attentats catastrophiques, et directeur exécutif de la commission d'enquête parlementaire sur les attentats du 11 septembre, Philip Zelikow ? Ceux qui ne croient pas dans l'expression autorisée du mythe n'appartiennent plus à la société dans laquelle la politique publique cohérente peut durer. Il faut croire au mythe pour continuer à appartenir à la société. Celui qui ne partage pas la croyance au mythe se trouve rejeté dans un univers parallèle. Il exprime là une vision totalitaire et Orwellienne de la société. Dans cette vision de la société, la croyance dans le mythe, dont la réalité importe peu, est obligatoire pour continuer à participer.

Une référence, en anglais : Was America Attacked by Muslims on 9/11?, David Ray Griffin, OpEdNews, 9 septembre 2008.
Cet article fortement documenté remarque en particulier, citant les président et vice-président de la commission, Thomas H. Kean et Lee H. Hamilton, dans leur livre, Without Precedent: the inside story of the 9/11 Commission publié en 2006, que tous les détails incriminant du rapport de la commission parlementaire sont des compte-rendus d'interrogatoires de témoins emprisonnés, dont le principal est Khalid Sheikh Mohamed, sans qu'aucun membre de la commission de puisse avoir accès à ces témoins, ni ne soit autorisé à assister à un interrogatoire, même sous forme passive. Griffin rappelle qu'il a été révélé en 2008 que ces témoignages ont tous été obtenus sous la torture, ce qui leur fait perdre leur crédibilité.

Également édifiant, l'interview [iceberg911.net] accordé Lee Hamilton à Evan Solomon, le 21 août 2006 sur CBS Canada, à l'occasion de la sortie de son livre Without Precedent: the inside story of the 9/11 Commission. Lee Hamilton ignore un grand nombre d'éléments des attentats. Un exemple, il est incapable d'expliquer comment une grosse explosion a pu être mesurée par les sismographes dans la tour 1 du WTC 14 secondes avant l'instant retenu par la commission d'enquête qu'il a présidé pour l'impact de l'avion, (8h46'26" pour 8h46'40", et pour la tour 2, 17 secondes avant l'impact, 9h02'54" pour 9h03'11"). Le FEMA, dans son rapport de mai 2002 (page 1-10), avait retenu les instants de ces explosions comme les instants d'impact des deux avions, la commission a retenu des instants d'impacts différents sans que son vice-président ne soit capable de le justifier. Or, s'il retient des instant d'impacts différents des instants des explosions, il doit expliquer les explosions, il ne l'a pas fait et cela ne l'a pas gêné. On comprend une telle attitude qui nie totalement la réalité par le choix du mythe contre celui du réel. Il a fait le choix du mythe et les éléments du réel qui ne cadrent pas avec le mythe, comme les sismographes qui ont enregistré des explosions à 8h46'26" et 9h02'54", sont ignoré purement et simplement avec un parfait aplomb. Pour reprendre l'image d'univers parallèles de Zelikow, il y a un univers, le réel, et ce sont les gens qui ignorent le réel, à l'image de Lee Hamilton, qui vivent dans des univers parallèles. Le problème pour nous est que de tels gens aussi peu intéressés par le réel sont en position de pouvoir et qu'ils nous ont entraînés à faire la guerre en Afghanistan et en Irak, à dépenser des billions de dollars pour des armes et équipements militaires, et nous imposent de multiples contraintes sur la base de le leur vision mythique du monde.

Philip Zelikow, quand il dirigeait la commission d'enquête parlementaire sur les attentats du 11 septembre, avait été extrêmement critiqué par les démocrate pour ses liens trop étroit avec l'administration Bush. Il vient pourtant d'être nommé par le président Obama, le 6 septembre 2011, 5 jours avant le dixième anniversaire des attentats, lourdement commémorés dans le sens du mythe, membre de son comité de conseillers sur le renseignement [Communiqué de l'université de Virginie, dont Zelikow est président associé], comité qui conseille le président dans la gestion de ses services de renseignements, services qui continuent à prendre de plus en plus d'importance, comme illustré par les nominations, annoncées le 28 avril 2011, au poste de ministre de la défense, du directeur de la CIA, Leon Panetta, et à la tête de la CIA, de l'emblématique général Petraeus, qui avait dirigé les opérations militaires en Irak et en Afghanistan.

La CIA a été responsable de l'opération qui a mené à la mort d'Oussama Ben Laden à Abbottabad, ville de garnison du Pakistan, dans une maison située à moins de 700 mètres de l'académie militaire de Kakoul, qui est le Saint-Cyr du Pakistan [Wikipedia] , dans la nuit du 1er au 2 mai 2011. Obama a annoncé à la télévision son succès le 1er mai à 23h35 (de Washington). Après presque dix ans d'existence exclusivement numérique, depuis sa disparition fin novembre 2001 dans la région de Tora-Bora en Afghanistan [Philip Smucker, Christian Science Monitor], Ben Laden aurait alors repris forme corporelle, celle d'un cadavre qui, après avoir été tué par des militaires américains anonymes, aurait été identifié, ramené du Pakistan vers l'Afghanistan, puis emporté à quelque 2 000 km de là sur l'USS Carl Vinson, en mer d'Arabie, sur lequel se serait tenu une cérémonie recueillie de 50 minutes avant de le faire disparaître en mer, tout cela dans l'intervalle de moins de 10 heures. Quel célérité ! Plus de trace matérielle, plus de corps pour permettre l'exercice de la médecine légale. Nous n'avons pour toute trace de cet ennemi public numéro un, jugé, selon le mythe, responsable des attentats du 11 septembre, et pour lequel tous les États étaient appelés par la résolution 1368 prise par le Conseil de sécurité des Nations Unies le 12 septembre 2001 [rappelée plus haut], "à travailler ensemble de toute urgence pour [le] traduire en justice", et non tuer, que l'image numérique d'un petit vieux de dos, spectateur d'une télévision qui diffuse des images de Ben Laden [communiqué du DOD], plus quatre vidéos d'un Ben Laden statique dans la stricte mise en scène, avec la même tenue, que pour la vidéo diffusée par Al Jazira le 29 octobre 2004, la première intervention de sa part contenant une revendication directe des attentats du 11 septembre, qui a permis la réélection de George Bush pour son deuxième mandat présidentiel, quatre jours plus tard, le 2 novembre [Wikipedia]. Qui donc est capable d'authentifier des documents numériques aussi pauvres ? Seul celui qui était présent à l'enregistrement est capable de la faire. La Maison Blanche nous a donné une autre image symbole, celle du président Obama et de son équipe, recueillie dans un sous-sol, spectateurs d'on ne sait quelle présentation sur écran [Christian Salmon, le Monde]. Aucun de ces éléments, et certainement pas la reconnaissance faciale d'un cadavre défiguré, ou la mantra de l'identification ADN à la vitesse de la lumière ne peuvent raisonablement convaincre de la vérité de cette histoire.

La CIA a été intimement mêlée, dans cette opération, à une action au récit aussi peu convaincant pour l'esprit rationnel que celui des attentats du 11 septembre. Est-ce sa qualité d'entrepreneur en mythes publics (en théorie comme en pratique) qui a valu à Philip Zelikow sa récente nomination dans cette commission présidentielle de contrôle des services secrets ?

Lien intéressant sur Philipe Zelikow : Complete 911 Timeline, Role of Philip Zelikow, sur le site History Commons.

Aucun chef de gouvernement des états alliés aux États-Unis ne met en doute le mythe du 11 septembre. Par contre le président vénézuélien Hugo Chavez (en 2006, réseau Voltaire) ou le président iranien Mahmoud Ahmadinejad (à la tribune de l'assemblée générale des Nations Unies, le 23 septembre 2010 [France 24], affirment leurs doutes sur le récit mythique. Ils sont rangés dans le camp ennemi. Kadhafi également s'est très clairement exprimé sur la manipulation du 11 septembre et d'Al-Qaïda sur l'antenne de CNN, depuis New-York, aux États-Unis, en ne se dérobant pas face aux questions de Larry King, le 29 septembre 2009 [GeantVert sur Reopen911.info]. Ça ne lui a pas attiré les sympathies des dirigeants occidentaux.

(17 octobre 2013) Sur ce sujet de la puissance mythe public pour maintenir les gens dans leur paradigme social au dépend de leur raison, lire l'article de Gerard Holmgren, de 2005 : Une théorie - pas certaine, juste une idée, sur la page de ce site qui lui est dédiée.

(à suivre)


N'ayez pas peur (Deutéronome 1:29)
Je conteste la validité, et conséquemment les résultats d’une raison cultivée par tout procédé spécial autre que la logique abstraite (Edgar Allan Poe, La lettre volée)
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Mis en ligne le 11 mars 2008. V. 20 du 7 juillet 2014, correction d'un lien mort vidéo (19) Synched Out de Simon Shack ; v. 19 du 17 octobre 2013, lien vers l'article "une théorie" de Gerard Holmgren ; v. 18 du 5 mai 2013, nettoyage du code html des vidéos, une vidéo en lecture locale (lecteur Flash : flv-player.net/fr/players/maxi) ; v. 17 du 26 sept 2011, typos ; v. 16 du 20 sept. 2011, 17 secondes et crash en direct : complément sur sismographie et NTSB ; v. 15 du 13 sept. 2011, typos, 11 sept. Mythe public, réf. ; 19 déc. 2010, Naudet, Leslie Raphael ; 18 déc. 2010, 911conspiracy.tv et commentaires, Karlstrom et Stilldigging, Hitler, résolution 1368 ; 13 décembre 2010, majeure : développement des notes sur le cinéma, télés, Psy-ops, Pentagone CIT, Shanksville,  ; 27 mai 2010, actualisation Holmgren ; 27 déc. 2008-5 jan 2009, symbolique du 911, correction du commentaire sur le direct télévisé, liens ; 11-15 mars 2008, corrections minimes ; 11 mars 2008, mise en ligne.